-
Jeux de la solidarité islamique : Le Maroc remporte deux médailles d’argent et une de bronze
-
Pour le quotidien sportif espagnol AS : Achraf Hakimi, l'un des meilleurs joueurs de l'histoire dans son poste
-
La caravane "N7taflou Kamlin" fait escale à Tafoughalt
-
Driss El Alouani médaillé de bronze aux Championnats d'Afrique de cyclisme à Kwale
-
Sport1 : Le Maroc, la puissance montante du football mondial
"Je sais ce que j'ai fait ou n'ai pas fait. J'ai ma conscience (pour moi) et je sais que je suis un homme honnête. Je suis propre. Je ne suis pas quelqu'un d'inquiet", a déclaré M. Blatter, président de la Fifa depuis 1998 et réélu en mai pour un cinquième mandat avant d'annoncer sa démission.
"Je l'ai fait (démission) parce que je voulais protéger la Fifa. Je peux me protéger moi-même. Je suis assez fort pour cela. L'institution n'est pas corrompue. Il n'existe pas de corruption dans le football. Il y en a uniquement au niveau individuel, mais pas de corruption générale et organisée", a ajouté M. Blatter, 79 ans, rapporte l’AFP.
Quatorze personnes, ex-responsables de la Fifa ou des sociétés de marketing ayant acheté les droits TV des Coupes du monde, ont été inculpées à New York. Selon la justice américaine, elles ont accepté de verser 110 millions de dollars de pots-de-vin, via une entité connue sous le nom de Datisa, pour obtenir de la Concacaf (Confédération de football d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale et des Caraïbes) et de la Conmebol (Confédération sud-américaine) les droits exclusifs pour trois Copa America (2015, 2019 et 2023) et pour l'édition du Centenaire en 2016. Au moins 40 millions avaient déjà été payés, selon la même source.
Sept responsables, dont l'ex-vice-président et ex-membre du comité exécutif de la Fifa, Jeffrey Webb, figurent parmi les 14 personnes inculpées par la justice américaine. Revenant sur les réformes demandées par les principaux parraineurs de la Fifa, Joseph Blatter a montré son étonnement: "Nous avions démarré nos réformes en 2011. C'est pourquoi je ne comprends pas que les médias du monde disent que la Fifa est corrompue. Sur le terrain, ce n'est pas facile de contrôler tous les joueurs parce qu'il y a des frontières, des délais et des arbitres".
"Qui peut contrôler directement 300 millions (personnes), 1,6 milliard indirectement? C'est impossible", a encore souligné M. Blatter.
Le comité de réformes de la Fifa, dont la création avait été annoncée en juillet par Sepp Blatter, se réunira pour la première fois les 2 et 3 septembre à Berne.
Le Congrès extraordinaire électif doit élire le président de la Fifa le 26 février 2016.
La Suisse étudiera en septembre les demandes d'extradition
Le ministère suisse de la Justice étudiera en septembre les demandes d'extradition formulées par les Etats-Unis à l'encontre de six anciens responsables de la Fifa englués dans un scandale de corruption, a annoncé lundi un porte-parole.
La police suisse détient sept anciens responsables de la Fifa à Zurich depuis le mois de mai 2015 dans le cadre d'une enquête de grande ampleur initiée par la justice américaine.
Jeffrey Webb, originaire des îles Caïmans et ex-vice président de la Fifa, a accepté son extradition aux Etats-Unis en juillet.
La décision concernant la demande d'extradition de Julio Rocha, ex-président de la Fédération du Nicaragua, est traitée à part dans la mesure où l'intéressé a déjà accepté d'être extradé dans son pays natal pour "blanchiment d'argent" et "enrichissement illicite".
Parmi les cinq anciens responsables réclamés par la justice américaine figurent l'Uruguayen Eugenio Figueredo, ex-président de la Fifa, et le Costaricien Eduardo Li, arrêté en Suisse lors de son arrivée pour participer au comité exécutif de la Fifa.










Jeux de la solidarité islamique : Le Maroc remporte deux médailles d’argent et une de bronze
