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Le système Hawk-Eye, retenu à l'issue d'un appel d'offres, avait déjà été utilisé lors de la Coupe du monde des clubs au Japon en 2012. C'est un système similaire qui avait été mis en oeuvre pour la première fois en Coupe du monde l'été dernier au Brésil.
Lors de sa toute première utilisation au Mondial, à l'occasion de France-Honduras (3-0), la technologie avait permis de valider le deuxième but français en l'attribuant finalement au gardien hondurien Noel Valladares (contre son camp) et non à Karim Benzema.
Le système repose sur sept caméras par but, installées aussi haut que possible dans le stade. "Le système est précis au millimètre près et indique dans la seconde si un but a ou non été marqué en faisant vibrer la montre de chaque officiel de match tout en émettant un signal visuel", explique la Fifa.









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