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Selon un communiqué, tout a commencé lorsque la déléguée de ce département a démis de leurs fonctions et mal noté Hammada Ballaoui et Abdallah Fathi.
Pire, le communiqué fait état d’actes de violence physique commis sur Abdallah Fathi, le 11 décembre, de la part des agents de sécurité de la délégation, et ce au bureau même de la déléguée et en sa présence. Un acte qui a été jugé par les protestataires comme une atteinte à leur dignité.
Ces mêmes fonctionnaires ont affirmé qu’après cet incident, la déléguée, à qui incombe la responsabilité de cette situation, n’a pas hésité à mobiliser d’autres fonctionnaires pour l’aider à falsifier la vérité et à maquiller les évènements. A ce propos, le communiqué a indiqué que l’agent de sécurité impliqué dans l’acte de violence tente d’obtenir un certificat médical dans le dessein de dénaturer l’incident dont un certain nombre de fonctionnaires et usagers de l’hôpital étaient témoins.