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A cette occasion, le président de la commission des pétions à la Chambre des représentants, Rachid El Abdi, a présenté un bref aperçu sur le parcours de la commission, qui a vu le jour sur la base des dispositions de la Constitution de 2011 et les lois organiques y afférentes, ainsi que le règlement intérieur de la Chambre des représentants et ce, dans le cadre de l'ouverture sur l'opinion publique nationale, de manière à permettre aux citoyens d'influencer la prise de décision, indique un communiqué de la Chambre des représentants.
Dans ce sillage, Rachid El Abdi a souligné que le Maroc est engagé dans une orientation démocratique ouverte, en vue de fournir un nouvel outil pour la société marocaine, afin qu'elle puisse participer à la prise de décision, ajoutant que la Chambre a déjà reçu et traité la première pétition, ce qui était considéré comme un nouveau exercice démocratique, note le communiqué relayé par la MAP.
Dans cette lignée, le rapporteur de la commission, Abdellatif Ben Yacoub, a présenté des données techniques concernant le processus de dépôt des pétitions, le nombre de signataires et les conditions de recevabilité de la pétition, saluant "le dynamisme que connaît actuellement la société marocaine, étant donné que le nombre des associations est passé de 90.000 à 200.000 associations actives en quelques années", ajoute la même source.
Pour sa part, le membre de la commission, Omar El Abassi, a rappelé les référentiels en termes de dispositions constitutionnelles et réglementaires sur lesquelles s'est basée la loi de réception des pétitions, chose qui reflète "la philosophie du Parlement ouvert, visant à s'inspirer des expériences internationales".
Les deux parties ont, en outre, souligné la nécessité de renforcer la coopération entre le Maroc et l'Allemagne dans le domaine des pétitions, de proposer un mémorandum de coopération institutionnelle et d’échanger les visites.
La délégation allemande était menée par Gero Storjohann, de l'Union chrétienne-démocrate et composée de Marc Biadacz et Tumon Gremmels, du même parti, Udo Shiefner du Parti social-démocrate et Johannes Huber, du Parti Alternative pour l'Allemagne.











