-
Abderrahim Mouziane : Le Maroc, sous le leadership de SM le Roi, est le pays arabo-islamique qui accorde le plus grand intérêt à Al-Qods Acharif
-
L’envoyé du Président du Conseil présidentiel libyen exprime les remerciements de son pays à SM le Roi pour le soutien constant à la cause libyenne et souligne l’importance du renforcement de l’UMA
-
Sahara marocain: La première vice-présidente de la Chambre des députés tchèque réaffirme la position de son pays en faveur du plan d'autonomie
-
Mobilisation de la FDT et de l’USFP pour la célébration de la Journée internationale du travail
-
Les ministres se relaient pour ressasser la même rengaine
Cette année, ce comité qui compte 27 membres chargés d’élaborer la «feuille de route» du prochain congrès l’a surpris.
En effet, ces derniers n’ont pas attendu la tenue du congrès pour faire plusieurs suggestions inédites et de taille dont notamment la création d’”un conseil présidentiel” ainsi qu’un poste de «vice-président», selon le média pro-Polisario Futuro Sahara.
Composé essentiellement de la vieille garde du Front, dont une majorité de septuagénaires ayant longtemps fait partie des cercles du pouvoir, ledit comité a également proposé d’«éloigner l’institution miliaire de la vie politique», selon la même source.
Futuro Sahara ajoute que les différentes tribus dont sont issus les membres dudit comité «sont en guerre depuis plus de trois décennies», et s’étonne du fait qu’ils aient trouvé un consensus. «Les ennemis d’hier et amis d’aujourd’hui tentent de ressusciter un ancien système néfaste», fustige le média qui ne cesse de dénoncer une mesure prise par les membres dudit comité pour garantir leurs intérêts et «continuer de profiter des avantages provenant des aides humanitaires au détriment des Sahraouis des camps, et avoir la mainmise sur les finances du Polisario».
A noter que Mohamed Lamine Ould El Bouhali, principal responsable dudit média, est lui aussi membre du comité de préparation du prochain congrès du Polisario où il siège à côté de plusieurs figures de proue du mouvement de Brahim Ghali, dont Hama Salama, Khatri Addouh, Bachir Mustapha Sayed, Abdelkader Taleb Oumar ou encore Abdellah Lahbib.
Selon plusieurs observateurs, la tempête qui a fait tomber Bouteflika n’épargnera pas Ghali et les siens dont l’existence dépend du régime algérien.