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Par ailleurs, la crise que vit le Polisario continuera au-delà des quarante jours prévus pour tenir un congrès et donc élire un successeur.
Mais ce successeur doit impérativement avoir la confiance des décideurs en Algérie et veiller à exécuter leur politique. L’Algérie ne se soucie guère de ce qu’endure la population des camps de Tindouf depuis 40 ans. Trouver une solution au conflit n’est pas inscrit dans son agenda. Le 1er mai 1976, l’ancien président Houari Boumediene avait déclaré à l’occasion d’un meeting politique que la question du Sahara « est une pierre dans les chaussures du Maroc ». Comprenez donc que l'objectif principal d’Alger est de pérenniser le conflit et non le résoudre. D’autant que la minorité qui dirige actuellement l’Algérie se qualifie toujours comme héritière de la politique de Boumediene.
S’agissant des populations des camps, Dkhil a déclaré : «Il est extrêmement difficile pour un habitant de « Lahmada » d’exprimer librement ses opinions et de manifester son opposition. Il est entouré par l'armée qui guette ses moindres faits et gestes. Après la révolte de 1988 réprimée dans le sang, les Algériens ont davantage renforcé la surveillance et le contrôle des camps ».