-
Le CNDH plaide à Genève pour une gouvernance équitable de l'eau et de l’énergie fondée sur les droits humains
-
Khadija Bendam nommée présidente du Conseil international des sociétés nucléaires
-
Appel au respect des règles juridiques encadrant le traitement des avis de recherche
-
Marhaba 2025 : Affluence "record" avec plus de 4 millions de MRE accueillis
Les deux experts, qui étaient les invités mercredi soir à Buenos Aires de la nouvelle rencontre périodique du Pôle de l'Agence Maghreb Arabe Presse (MAP) en Amérique du Sud placée sous le thème «La proposition d'autonomie, une solution définitive au conflit artificiel autour du Sahara marocain», ont affirmé que le Sahara, à l'instar des autres régions du Maroc, est une partie intégrante du territoire du Royaume, qui n'a jamais été un territoire sans maître (terra nullius), mais a toujours été une terre marocaine.
Dans ce sens, Adalberto Carlos Agozino, chercheur en sciences politiques à l'Université «John F. Kennedy» de Buenos Aires, a estimé que la proposition d'autonomie «est généreuse, réaliste et représente une bonne initiative viable qui peut contribuer à une solution basée sur des fondements juridiques et logiques de ni vainqueur, ni vaincu», notant que «toute demande en dehors de ce cadre et au-dessus de ce plafond n'est que pure prétention fantaisiste».
Lors de cette rencontre, marquée par la présence d'une pléiade d'académiciens, de chercheurs et de professionnels des médias, il a également dressé un aperçu historique de ce conflit régional créé de toutes pièces par l'Algérie, depuis la récupération par le Maroc de son Sahara des mains des colonisateurs espagnols suite à la Glorieuse Marche Verte et les manœuvres avec lesquelles Alger n'a cessé de contrecarrer l'intégrité territoriale du Royaume.