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Le secrétariat général du gouvernement a confirmé l’illégalité des nomades de se présenter à la consultation de juin, et ce dans le cadre d’une consultation sollicitée par le ministère de l’Intérieur. Plus explicitement, les personnes qui se sont présentées aux élections de 2007 au nom de leur parti d’origine et l’ont quitté par la suite pour d’autres formations n’ont pas le droit de se porter candidat à ces élections.
Cette décision prise par l’Exécutif qui survient au moment opportun et apporte un remède au casse-tête que constitue la transhumance politique, s’inscrit dans la dynamisation de cette loi de façon à ce que le nomadisme devienne “difficile”, voire “impossible” à pratiquer. Moment opportun également après la création du Parti de l’authenticité et de la modernité (PAM) constitué en grande partie par des conseillers et des parlementaires qui ont changé de cap, à tel point que des groupes parlementaires ne disposent plus de liste au sein du Parlement.
Selon des sources, cette décision est une solution pratique pour endiguer le phénomène du nomadisme et au cas du PAM qui s’est appuyé totalement lors de sa constitution sur des élus transhumants et des gestionnaires de la chose locale. Cette décision, poursuivent les mêmes sources, sont à même de redonner confiance aux citoyens et mettre de l’ordre dans le champ politique et partisan marqué, après la création du PAM, par des pressions et l’utilisation des moyens de l’Etat pour la création du nouveau venu. Cette mesure est de nature à réduire le taux de désaffection lors des élections de juin prochain.
D’autres sources ont enfin affirmé que cette décision affectera certaines formations qui se sont engagées, ces derniers temps, à enrôler quelques élus de la première et de la deuxième Chambres.







