-
Les efforts du Maroc salués à Budapest
-
Le Maroc et l’Italie signent l’Accord sur la reconnaissance mutuelle des permis de conduire
-
La Cour de cassation confirme l’inéligibilité d’Abdellatif Yako à la présidence du Conseil régional des notaires de Casablanca
-
Retraite et droit de grève en pierre d’achoppement
-
L’approche algérienne promouvant le séparatisme et la déstabilisation désormais isolée
A force d'arguments juridiques et historiques et de faits réels sur le terrain exposés devant les membres de la commission, l'analyste politique chilien, Andres Grimblatt, a souligné que «le Maroc a clairement démontré par les faits que le Sahara marocain est une région comme les autres, qui participe à l'effort de développement du pays et qui bénéficie de la croissance économique, sociale et culturelle que le Royaume a connue depuis plusieurs années».
Il a, à ce propos, relevé que le discours séparatiste ne tient pas debout devant les faits, les chiffres et les témoignages des populations locales qui démontrent le développement de ces provinces marocaines, aussi bien au niveau des infrastructures qu'au niveau de l'éducation, la santé et la qualité de vie et démentent de manière forte ce discours fallacieux.
Pour le chercheur au Centre d'études du Maghreb pour les Amériques, accuser le Maroc de piller les ressources naturelles de son Sahara paraît plus une stratégie à attiser les braises du terrorisme qu'à trouver une véritable solution au conflit, comme ce que propose le Royaume, sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dans le cadre du plan marocain d'autonomie, qui est à même d'offrir une meilleure vie à ces citoyens dans la paix et la prospérité.
De son côté, l'ancien président du parti socialiste chilien, Juan Carlos Moraga Duque, a répondu aux allégations fallacieuses de certains relais du Polisario au sujet de l'Instance équité et réconciliation (IER), en passant en revue l'expérience marocaine pionnière dans la région en matière de justice transitionnelle et de promotion des droits de l'Homme.
Pour cet ancien prisonnier politique sous le régime d'Augusto Pinochet, l'IER était la première du genre dans le monde arabe, qui a su s'ériger en véritable modèle de justice transitionnelle dans le monde, de par son sérieux et l'efficacité de son travail.
L'expert et militant chilien a saisi cette opportunité pour interpeller le groupe d'avocats espagnols dépêché pour participer aux travaux de la 4ème Commission par une organisation pro-séparatiste, rappelant que ces mêmes personnes sont elles-mêmes complices des violations graves des droits de l'Homme, commises par le Polisario dans les camps de Tindouf.