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A travers une vidéo postée sur Twitter, elle raconte les détails de son viol par Brahim Ghali en 2010 lorsqu’elle s’était rendue à la soi-disant ambassade du Polisario à Alger pour obtenir une autorisation de sortie des camps de Tindouf.
La jeune femme qui avait reçu l’invitation d’une ONG humanitaire italienne, était ravie à l’idée de pouvoir enfin quitter ces camps.
A l’époque, Brahim Ghali qui était recherché par la justice espagnole pour d’autres chefs d’accusation, venait de trouver refuge dans la villa algéroise que les généraux algériens désignaient comme étant l’ambassade de la chimérique RASD qu’ils avaient créée.
Arrivée à la dite villa à 9 heures du matin, Khadijatou fut renvoyée pour un rendez-vous fixé à 19H00. Elle revient « avec une amie que le concierge refoule à la porte», raconte-t-elle émue par le souvenir de cette soirée qui se transformera en cauchemar.
Il n’y avait personne d’autre que Brahim Ghali, auquel Khadijatou présente ses documents. Sans jeter un regard sur ces papiers, il se jette sur sa proie. «Brahim Ghali m’a violée avec une telle brutalité que j’ai commencé à saigner abondamment», se rappelle-t-elle, la voix étouffée par l’émotion.
Aujourd’hui, en dépit du douloureux souvenir, elle ne désespère pas d’obtenir réparation devant la justice espagnole où elle a déposé plainte auprès de l’Audience nationale, la plus haute juridiction en Espagne.
Mais cette piste risque de ne pas aboutir de sitôt, Brahim Ghali n’ayant plus remis les pieds dans ce pays, ni dans aucun autre pays européen depuis 2008, à cause du mandat d’arrêt dont il fait l’objet.












