-
En amont de la visite de Nasser Bourita : Moscou qualifie le Maroc de "partenaire important" de la Russie sur le continent africain
-
Le Maroc réaffirme à l’ONU son soutien "ferme et constant" à la souveraineté des Emirats Arabes Unis sur les îles Tunb al-Kubra, Tunb al-Sughra et Abu Musa
-
Youssef Amrani réitère à Washington l’engagement du Maroc à faire du numérique un levier de développement socio-économique et d'intégration des jeunes
-
50 ans après sa récupération, le Sahara marocain est devenu un havre de paix, un hub d'intégration africaine et de développement partagé
A l’issue d’un processus électif ayant réuni neuf candidats issus de différents continents, M. Redouane a été élu vice-président de cette prestigieuse Union.
Cette distinction constitue une reconnaissance internationale de la place du pouvoir judiciaire marocain et de l’évolution de ses institutions, sous la sage conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Outre M. Redoaune, la délégation de l’Amicale Hassania des magistrats qui a pris part à cet événement était composée notamment du vice-président de cette instance, Abdelkrim Bou Tayeb, et de son secrétaire général, Yahya Zoulouti.
La 67ᵉ Réunion annuelle de l’Union internationale des magistrats, a été marquée par l'organisation d'une conférence internationale consacrée aux relations entre le pouvoir judiciaire et les deux autres pouvoirs de l'Etat.
Cette réunion a connu la participation de quatre groupes régionaux, à savoir le groupe africain, l’association européenne des magistrats, le groupe ibéro-américain et le groupe asiatique, nord-américain et océanique.
L’événement a été ponctué d’une exposition intitulée "Symboles de la justice" qui a présenté des robes, des ordres, des insignes, des timbres et des billets de banque appartenant à environ 150 juges, avocats et procureurs de 80 pays du monde.
Fondée en 1953 à Salzbourg, en Autriche, l’Union internationale des magistrats est une organisation internationale professionnelle apolitique qui réunit non pas des individus, mais des associations nationales de magistrats, dont l’admission est décidée par son Conseil Central. Son but principal est la sauvegarde de l’indépendance du pouvoir judiciaire.