
-
Des Marocains du monde aux parcours exceptionnels honorés à Marrakech
-
Le défilé de la "Caftan Week 2025" célèbre le Sahara marocain
-
Première master class sur l'innovation technologique, l’intelligence artificielle et économique à Laâyoune
-
L'arganeraie, une mine d'or vert à l'épreuve du dérèglement climatique
L'observation du croissant est assurée par ces commissions spécialisées qui sont réparties sur l’ensemble du territoire national ainsi que les membres des Forces Armées Royales (FAR).
Le Maroc et le Sultanat d'Oman sont les meilleurs pays dans le domaine d'observation des croissants lunaires, a enchaîné l'expert, relevant que la méthode la plus précise demeure celle adoptée par le Maroc qui repose sur le critère de la visibilité oculaire à l’œil nu contrairement à plusieurs pays islamiques qui optent pour une observation fondée sur les calculs astronomiques. Et M. Benayad de préciser que les commissions spécialisées au Maroc procèdent à l'observation des croissants lunaires des différents mois de l'Hégire, tout au long de l'année, et non pas seulement avec l'avènement du mois de Ramadan.
De son côté, le doyen de la Faculté des sciences de Tétouan, Abdellatif Mokrim, a indiqué que cette conférence intervient dans le cadre d’une série de rencontres programmées par l’établissement universitaire à l'occasion du mois sacré, avec un focus sur des thèmes scientifiques pertinents.
Dans une déclaration à la MAP, M. Mokrim a ajouté que cette rencontre, initiée en partenariat avec le Conseil local des Oulémas de Tétouan, dans le cadre de l'ouverture de la faculté sur son environnement, vise à mettre en relief la méthode adoptée par le Maroc en matière d’observation des croissants lunaires et sa conformité avec les critères scientifiques et les calculs astronomiques, afin d'encourager les étudiants, les chercheurs et les personnes intéressées à accorder de l’intérêt à l’étude et à la recherche dans ce domaine scientifique.