-
Vernissage à Casablanca de l'exposition internationale itinérante sur le patrimoine culturel immatériel de Shanghai
-
Les avancées de développement dans les provinces du Sud du Maroc mises en exergue au CDH
-
Le Maroc mis en avant comme modèle de développement intégré et de stabilité en Afrique
-
Forte participation des candidats d’origine marocaine

Les étudiants sélectionnés ont été formés à l’art du débat selon le modèle de Karl Popper.
La compétition qui a été lancée le 9 février à la Faculté de droit et d’économie d’Ain Sebaâ (Université Hassan II Mohammedia) se poursuivra le 16 février à L’EGE (Rabat), le 23 février à l’ENCG de Tanger et sa finale aura lieu le 2 mars prochain à l’EGE. Cet événement rassemblera la jeunesse marocaine de différentes institutions publiques de l’enseignement supérieur au Maroc, à savoir l’Académie marocaine des études diplomatiques du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales d’Ain Sebaâ, l’Ecole nationale de commerce et de gestion de Tanger ainsi que l’Institut national de l’aménagement et de l’urbanisme de Rabat. Cette compétition de débat intervient à un moment où la sphère politique a entamé des discussions autour de la proposition de réforme politique, économique et sociale. Cet exercice permettra aux étudiants de conjuguer apprentissage, engagement et citoyenneté.
La Fondation Anna Lindh en collaboration avec le British Council vise à développer les compétences et les possibilités pour les jeunes de la région MENA de diriger un débat efficace. L’objectif est d’enrichir le pluralisme du dialogue démocratique, ainsi que la création d’espaces de dialogue et d’échange autour de thématiques qui suscitent l’intérêt des jeunes.