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Il s’agirait de centaines de millions de dollars qui ont été détournés et qui se trouveraient dans des comptes à Singapour et Hong-Kong mais également à Beyrouth, en Italie et à Panama pour des montants aujourd’hui inconnus. Plusieurs personnes dans l’entourage du palais de La Moradiya seraient impliquées directement ou indirectement dans ce scandale à travers des versements des pots-de-vins ou l’octroi de faveurs à leurs familles. Il est à préciser que le scandale Sonatrach dans son acte premier a été déclenché en 2009 suite à une enquête ayant abouti à l’arrestation du PDG de l’époque Mohamed Meziane qui fut le bouc émissaire pour étouffer l’affaire. La presse algérienne révèle aussi l’implication de Saïd Bouteflika, qui aurait protégé Chakib Khelil. Et le lâchage aujourd’hui de ce proche du président permet de couvrir le frère du président qui aurait trempé dans des affaires de corruption qu’on voudrait sans doute passer sous silence. A signaler que Chakib Khalil bénéficie de la nationalité américaine.