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Gérée depuis 40 ans par l'Anglais Bernie Ecclestone, qui en a fait un business mondial, la F1 pourrait tomber entre les mains du groupe américain Liberty Media.
Mais le flou subsiste dans ce dossier à neuf zéros. Des médias allemands et anglais ont assuré ce week-end que la transaction serait bouclée mardi. Dans son édition de lundi, le Financial Times estime pour sa part qu'elle pourrait être officialisée "dans les deux semaines".
Le dossier du rachat de la F1 est un serpent de mer et est ouvert depuis des mois, entre intox, rumeurs et énormes attentes. Si cette vente est confirmée, un nouveau chapitre s'ouvrira dans l'histoire de l'un des deux sports les plus médiatisés au monde avec le football. Et quelques réponses seront apportées, par bribes...
C'est la question : combien Liberty Media, le groupe de John C. Malone, 75 ans, va-t-il mettre sur la table s'il veut racheter les quelque 35% (34,6%) toujours détenus par le fonds d'investissement CVC Capital Partners?
Cette part correspond à la participation de CVC Capital Partners dans Delta Topco, holding financière qui encaisse les revenus commerciaux de la discipline reine des sports mécaniques.
Le chiffre de 8,5 milliards de dollars (7,6 milliards d'euros) circule dans la presse mais semble très optimiste. Selon Formula Money, un site proche d'Ecclestone, cette part vaut environ trois milliards. Ce qui est déjà énorme et permettrait à CVC Capital Partners de faire une belle plus-value.
Les chiffres sont sujets à caution mais en 2006, CVC avait acheté au total 63,4% des parts de la F1, pour un montant estimé à environ un milliard de dollars.
L'un des enjeux sera aussi de rehausser l'intérêt sportif de la F1. Car depuis 15 ans, une poignée d'écuries la domine (Mercedes aujourd'hui, Red Bull ou Ferrari hier), ce qui nuit au suspense et tire les audiences télé vers le bas. La question était sur toutes les lèvres ce week-end, dans le paddock du Grand Prix d'Italie à Monza.










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