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La DGAPR dément les allégations véhiculées par des individus se disant solidaires d’ un détenu à la prison d’Aïn Sebaa 1Libé
Jeudi 5 Août 2021
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La Délégation générale de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion (DGAPR) a démenti, lundi, les allégations véhiculées par des individus qui se disent "solidaires" du détenu (S.R), qui purge sa peine à la prison locale d’Aïn Sebaa 1, lors d'un sit-in organisé devant l'établissement pénitentiaire. Dans une mise au point, la DGAPR a indiqué qu’en relation avec les allégations selon lesquelles "le détenu susmentionné s'est vu refuser la sortie à l'hôpital externe pour traitement", la Délégation précise que la personne concernée refuse de se rendre à l'hôpital depuis le 30 juin 2021 et refuse également de se faire vérifier ses signes vitaux par le personnel médical de l'établissement. Quant à "sa privation de voir sa femme et son enfant", la Délégation générale confirme que les visites familiales ont été totalement suspendues depuis la date du 19 juillet 2021, en lien avec la situation épidémiologique que connaît le Maroc, sachant que ledit détenu avait auparavant refusé de sortir voir sa femme et son avocat, à condition d'obtenir un fauteuil roulant, alors qu’en même temps, il se déplaçait normalement entre les locaux et les étages de l'établissement pénitentiaire. Lorsque l'intéressé s'est rendu compte de l'échec de sa manœuvre, il a commencé à se rendre à la rencontre de son avocat en marchant sur ses pieds". Faire semblant de solidarité avec le détenu concerné par "un groupe de personnes dénuées de conscience et de patriotisme est devenu une misérable mise en scène qui ne peut plus être utilisée pour induire en erreur l'opinion publique, qui est désormais consciente des objectifs ignobles qui les animent, et des agendas qu'ils mettent en œuvre", selon la même source. Ils agissent ainsi alors qu'ils savent pertinemment que le détenu en question refuse que l’on mesure ses signes vitaux et qu'on l’emmène à l'hôpital public externe, précise le communiqué, ajoutant que le détenu en question a refusé plus d'une fois de recevoir sa défense et son épouse et a exigé de se déplacer en fauteuil roulant. Ces personnes agissent de la sorte, alors qu'elles savent pertinemment qu’il est illogique et impossible que le détenu puisse marcher sur ses pieds après 117 jours de sa prétendue grève de la faim, relève la Délégation, soulignant que l'intéressé refusait constamment son transfert à l'hôpital et la mesure de ses signes vitaux, car il savait pertinemment qu'il n’observe aucune grève de la faim en réalité et qu'il prenait de manière régulière des produits nutritifs, comme la Délégation générale en avait informé auparavant l'opinion publique.
Le ministère de l’Intérieur a démenti, lundi dans un communiqué, les allégations faisant état d’une prétendue opération de migration clandestine menée par quatre éléments des Forces auxiliaires vers le préside occupé de Sebta. Suite à des allégations véhiculées par certains médias espagnols faisant état d’une prétendue opération de migration clandestine menée récemment par quatre éléments des Forces auxiliaires vers le préside occupé de Sebta, où ils auraient déposé une demande d’asile, et suite aux investigations menées afin de vérifier la véracité de ces informations, le ministère de l’Intérieur indique que toutes ces allégations sont infondées et ne sont que des fake news. Tout en réaffirmant à l'opinion publique nationale le caractère infondé de ces allégations mensongères, le ministère de l’Intérieur relève que la diffusion des fake news et allégations vise à induire l’opinion publique en erreur. Le ministère de l’Intérieur fait observer qu’il se réserve le droit de poursuivre en justice toute personne ayant publié ces fake news, conclut le communiqué.
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