La rencontre qui a opposé au Royal Tennis Club de Marrakech l’équipe du Maroc et celle de la Bosnie Herzégovine, en Coupe Davis, pour le compte du premier tour du groupe II, zone Euro- Afrique, s’est soldée par la victoire des Bosniaques par trois matchs à deux.
Les nationaux, menés par le capitaine Mounir El Aaraj, ont tenu tête à leurs adversaires jusqu’au bout, mais l’expérience de ces derniers a prévalu. Le premier jour de la compétition n’a pas fait de vainqueur. Reda El Amrani, même souffrant d’une blessure, a donné un premier point au Maroc en battant Amer Didlic par trois sets nets, 6/2- 7/6- 6/3. L’autre partie du jour, qui s’annonçait pourtant à la portée de Talal Ouahhabi, a tourné en faveur de Aldin Setkic par trois sets à deux ( 6/4, 2/6, 5/7, 6/4, 6/4).
Malgré ce nul, tout le monde voyait que la balance penchait beaucoup plus du côté marocain. Seulement, lors du double de samedi, le tandem El Amrani- Ouhhabi n’a pas été en mesure de surclasser des Bosniaques en parfaite harmonie tout au long de la partie. Ces derniers, en assurant le 2-1 pour leur équipe, ont par la même occasion fait installer le doute dans l’autre camp. Le staff technique marocain imaginait tous les scénarios possibles et craignait surtout la réapparition de la blessure du numéro un marocain. Quant à Talal, en homme d’expérience, il donnait beaucoup d’assurance à un groupe constitué principalement de jeunes et qui voyait en lui peut-être celui par qui la délivrance pouvait arriver.
Le premier match du troisième jour a opposé El Amrani et Setkic, et contre toute attente, le joueur marocain a réalisé, en dehors du premier set, une prestation sans faute. Ayant perdu le 1er jeu, il a su garder le moral, surtout qu’il a été assisté par un public qui a vraiment fait preuve de beaucoup de maturité par ses encouragements. Le Marocain n’a fait qu’une bouchée de son adversaire en le battant par trois sets à un (2/6, 6/2, 6/0, 6/1). A deux partout, tout le poids de la rencontre a pesé sur le dos de Talal. Les propos de certains proches du staff marocain étaient plutôt rassurants. Ils présentaient le dernier Marocain en lice comme fort mentalement et qui pouvait revenir de loin dans des situations bien difficiles. Lors de la dernière confrontation, mené par deux sets à zéro, le retour de Talal dans la partie au troisième set a donné espoir à plus d’un qui voyaient la configuration du staff se réaliser. Malheureusement, la suite de la partie a connu un scénario totalement différent, puisque Ouhhabi a baissé pavillon face à la fougue de Didlic qui a sorti du grand tennis lors de ce match qu’il a remporté par trois sets à un ( 6/1, 6/3, 4/6 et 6/1).
Tout compte fait, ce résultat parait logique vu la composition de l’équipe marocaine et les résultats enregistrés par ses différents joueurs lors des tournois auxquels ils ont pris part bien avant les rencontres de la Coupe Davis. El Amrani souffrant et Ouhhabi qui n’est plus à ses 18 ans, il était un peu utopique de s’attendre à un miracle. Toutefois, pour rendre à César ce qui lui appartient, les deux parties gagnées par Reda El Amrani confirment sa position de numéro un national. Ouahhabi a fait de son mieux pour offrir aux siens la victoir, mais il a été confronté à la fraîcheur physique de ses adversaires. Maintenant il faut donner la chance aux autres membres de l’équipe qui, par leur jeunesse et leur fougue, auraient pu donner un plus au groupe.
Les nationaux, menés par le capitaine Mounir El Aaraj, ont tenu tête à leurs adversaires jusqu’au bout, mais l’expérience de ces derniers a prévalu. Le premier jour de la compétition n’a pas fait de vainqueur. Reda El Amrani, même souffrant d’une blessure, a donné un premier point au Maroc en battant Amer Didlic par trois sets nets, 6/2- 7/6- 6/3. L’autre partie du jour, qui s’annonçait pourtant à la portée de Talal Ouahhabi, a tourné en faveur de Aldin Setkic par trois sets à deux ( 6/4, 2/6, 5/7, 6/4, 6/4).
Malgré ce nul, tout le monde voyait que la balance penchait beaucoup plus du côté marocain. Seulement, lors du double de samedi, le tandem El Amrani- Ouhhabi n’a pas été en mesure de surclasser des Bosniaques en parfaite harmonie tout au long de la partie. Ces derniers, en assurant le 2-1 pour leur équipe, ont par la même occasion fait installer le doute dans l’autre camp. Le staff technique marocain imaginait tous les scénarios possibles et craignait surtout la réapparition de la blessure du numéro un marocain. Quant à Talal, en homme d’expérience, il donnait beaucoup d’assurance à un groupe constitué principalement de jeunes et qui voyait en lui peut-être celui par qui la délivrance pouvait arriver.
Le premier match du troisième jour a opposé El Amrani et Setkic, et contre toute attente, le joueur marocain a réalisé, en dehors du premier set, une prestation sans faute. Ayant perdu le 1er jeu, il a su garder le moral, surtout qu’il a été assisté par un public qui a vraiment fait preuve de beaucoup de maturité par ses encouragements. Le Marocain n’a fait qu’une bouchée de son adversaire en le battant par trois sets à un (2/6, 6/2, 6/0, 6/1). A deux partout, tout le poids de la rencontre a pesé sur le dos de Talal. Les propos de certains proches du staff marocain étaient plutôt rassurants. Ils présentaient le dernier Marocain en lice comme fort mentalement et qui pouvait revenir de loin dans des situations bien difficiles. Lors de la dernière confrontation, mené par deux sets à zéro, le retour de Talal dans la partie au troisième set a donné espoir à plus d’un qui voyaient la configuration du staff se réaliser. Malheureusement, la suite de la partie a connu un scénario totalement différent, puisque Ouhhabi a baissé pavillon face à la fougue de Didlic qui a sorti du grand tennis lors de ce match qu’il a remporté par trois sets à un ( 6/1, 6/3, 4/6 et 6/1).
Tout compte fait, ce résultat parait logique vu la composition de l’équipe marocaine et les résultats enregistrés par ses différents joueurs lors des tournois auxquels ils ont pris part bien avant les rencontres de la Coupe Davis. El Amrani souffrant et Ouhhabi qui n’est plus à ses 18 ans, il était un peu utopique de s’attendre à un miracle. Toutefois, pour rendre à César ce qui lui appartient, les deux parties gagnées par Reda El Amrani confirment sa position de numéro un national. Ouahhabi a fait de son mieux pour offrir aux siens la victoir, mais il a été confronté à la fraîcheur physique de ses adversaires. Maintenant il faut donner la chance aux autres membres de l’équipe qui, par leur jeunesse et leur fougue, auraient pu donner un plus au groupe.
Aux caporaux le Graal de la bêtise
