Par un commun accord entre le comité du Raja et celui du MAS, Abdelmoula Berrabah qui a refusé d’accompagner l’équipe des Verts lors de la dernière sortie au Cameroun renforcera les troupes de Rachid Taoussi, alors que le MAS cèdera Driss Belaâmri au Raja pour deux saisons. Il est certain qu’avec Ait Laârif et Belaâmri, ( deux milieux offensifs) Ballachi cherche à trouver un meneur de jeu et un bon passeur pour donner un coup de fouet à son attaque qui laisse à désirer.
La preuve a été donnée lors des éliminatoires de la Ligue des champions. Belaâmri et l’ex Wydadi Ait Laârif seront sans aucun doute, s’ils arrivent à se familiariser avec l’ambiance des Verts et s’intégrer dans le système de jeu de l’entraîneur des aigles verts, d’une grande utilité à l’attaque du club cher à Hanat qu’on disait démissionnaire. Il est toujours là et on dit qu’il bénéficie même du soutien du ministre féru de location de voitures.
La colère des « Maganistes » passée, Hanat tente de remettre les pendules à l’heure pour apaiser l’ire des supporters et sauver sa peau, car il semble que « l’insurrection » se trame de l’intérieur même du comité. Faux ou vrai ? Les semaines à venir et les résultats du club vert seront déterminants dans ce sens.
Mais on est à se demander pourquoi ces recrutements et ces transferts de dernière minute et après l’élimination du club de la plus prestigieuse compétition continentale, n’ont pas été fait avant le début des éliminatoires de la Ligue des champions. Certains diront qu’il vaut mieux tard que jamais. Et que le Raja reprendra ses marques en Championnat et que le club vert passe par une phase transitoire comme tout club.
D’autres pensent que la crise du Raja est plus profonde et qu’elle se situe avant tout, au niveau de la gestion mais également au niveau technique et que c’est Ballachi qui sera le bouc émissaire de Hanat et compagnie. Ce qui est sûr, c’est que le chaleureux public rajaoui mérite mieux que ce qu’on lui offre depuis l’assemblée générale.
La preuve a été donnée lors des éliminatoires de la Ligue des champions. Belaâmri et l’ex Wydadi Ait Laârif seront sans aucun doute, s’ils arrivent à se familiariser avec l’ambiance des Verts et s’intégrer dans le système de jeu de l’entraîneur des aigles verts, d’une grande utilité à l’attaque du club cher à Hanat qu’on disait démissionnaire. Il est toujours là et on dit qu’il bénéficie même du soutien du ministre féru de location de voitures.
La colère des « Maganistes » passée, Hanat tente de remettre les pendules à l’heure pour apaiser l’ire des supporters et sauver sa peau, car il semble que « l’insurrection » se trame de l’intérieur même du comité. Faux ou vrai ? Les semaines à venir et les résultats du club vert seront déterminants dans ce sens.
Mais on est à se demander pourquoi ces recrutements et ces transferts de dernière minute et après l’élimination du club de la plus prestigieuse compétition continentale, n’ont pas été fait avant le début des éliminatoires de la Ligue des champions. Certains diront qu’il vaut mieux tard que jamais. Et que le Raja reprendra ses marques en Championnat et que le club vert passe par une phase transitoire comme tout club.
D’autres pensent que la crise du Raja est plus profonde et qu’elle se situe avant tout, au niveau de la gestion mais également au niveau technique et que c’est Ballachi qui sera le bouc émissaire de Hanat et compagnie. Ce qui est sûr, c’est que le chaleureux public rajaoui mérite mieux que ce qu’on lui offre depuis l’assemblée générale.
Victoire étriquée de la RSB sur le Zamalek
