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Le procureur de Crémone, qui enquête sur un réseau organisant des matches truqués dans le football mais également dans le tennis, a pris récemment connaissance de conversations via Skype durant lesquelles ces joueurs évoquaient des sommes d’argent allant jusqu’à 50.000 euros.
Bracciali, 36 ans, qui joue essentiellement en double, est actuellement classé à la 56e place à l’ATP (en double). En 2006, il s’est hissé à la 49e place et a plusieurs fois été convoqué en Coupe Davis.
Quant à Starace, 33 ans, il occupe actuellement la 150e place du classement du simple messieurs mais en 2007, il figurait dans le Top 30.
Dans l’une de ces conversations, Bracciali échange avec un comptable qui lui explique comment procéder, à la veille d’un match du tournoi de Newport en juillet 2007.
“On peut essayer demain 50 (50.000 euros, ndlr) mais il est important que tu gagnes le premier set, si tu veux la prochaine fois, on essaiera d’obtenir plus”, dit cet homme.
Ce à quoi le joueur répond: “Il est important que je connaisse mon adversaire, que je puisse lui parler avant le match parce que t’assurer que je vais forcément gagner le premier set sans ça...”
Une autre conversation se déroule entre Starace en 2011, alors qu’il doit disputer la finale du tournoi de Casablanca, et un bookmaker de Pescara (centre), qui évoquent des “garanties” en contrepartie de la défaite.
Les deux joueurs avaient perdu les deux rencontres en question.
Le président de la Fédération italienne de tennis (FIT), Angelo Binaghi, a déclaré mercredi que l’instance se constituerait partie civile si ces faits “très graves et intolérables” se confirmaient, en raison de “l’atteinte portée à l’image du tennis italien”.
En janvier 2008, Starace et Bracciali avaient été suspendus respectivement six semaines et trois mois pour avoir parié de petites sommes sur des rencontres disputées par d’autres joueurs qu’eux.









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