Autres articles
-
Les camps de Tindouf en Algérie, un foyer de tensions et une bombe à retardement
-
Ferme volonté de renforcer la coopération entre la Banque mondiale et le Maroc
-
Le président d'Interpol salue le leadership du Maroc
-
L’Agence nationale des eaux et forêts tenue de faire avec
-
La Déclaration du Bahreïn appelle au déploiement de forces internationales de maintien de la paix, relevant des Nations unies, dans les territoires palestiniens occupés
La grogne des fonctionnaires du département de l'environnement est à son comble. Les syndicalistes qui ont observé un sit-in vendredi dernier devant le siège du ministère à Rabat, promettent de poursuivre leur manifestation jusqu’au bout.
Affiliés aux quatre centrales les plus représentatives du secteur, notamment la FDT, les manifestants résument leurs revendications à travers des communiqués. Celui de la FDT ne manque pas de s’indigner face aux abus dont les fonctionnaires sont victimes. Les syndicalistes de la FDT dénoncent à ce propos «le comportement du secrétaire général et du chef de division du budget au département de l'environnement».
Ils réclament, entre autres, la protection des deniers publics, l’amélioration de la gestion et davantage de liberté au sein de ce département. A titre d’exemple, certaines sources concordantes nous ont informé qu’«à la suite du sit-in de vendredi dernier, le chef de service régional d'Errachidia a été "congédié" sans préavis par le secrétaire général dudit ministère. Et ce, pour le punir pour avoir participé au sit-in.»
Et d’ajouter que les mesures disciplinaires illégales adoptées par ce haut responsable ont touché d’autres fonctionnaires, comme le chauffeur qui a été privé de sa dotation de carburant pour la même raison. Les responsables du département ne respecteraient nullement les droits syndicaux des fonctionnaires, selon notre source. Ce qui n’est pas de nature à favoriser les négociations entre les deux parties.
Ceci dit, les jours à venir s’annoncent déjà chauds dans ce département secoué par plusieurs crises, dont celles liées à la gestion des ressources financières, techniques et humaines. En un mot, la gestion de ce secteur-clé de l’économie nationale poserait problème.
Dans leur communiqué, les syndicalistes de la FDT dénoncent «l’abus de pouvoir devenu monnaie courante dans le département, la marginalisation des cadres et des compétences en matière d'environnement remplacés abusivement par d’autres moins expérimentés, le copinage dans le plan de carrière et l’attribution des primes et des augmentations de salaires réservées à une minorité, le vandalisme enregistré au niveau des locaux des syndicats, l’exploitation des véhicules de services par des responsables qui bénéficient des primes mensuelles de déplacement, le retard enregistré au niveau du remboursement des primes de responsabilité aux chauffeurs et aux cadres du département, etc». Et la liste est longue.
Pour le moment, les syndicalistes préfèrent discuter des problèmes importants, mais l’administration refuse de les écouter.
Aussi prévoient-ils d’autres mouvements de protestation pour pousser les responsables de leur département à prendre au sérieux leurs revendications. Surtout qu’ils ne peuvent plus supporter ces abus qui servent les intérêts de certains responsables au détriment de leurs droits les plus élémentaires.
Affiliés aux quatre centrales les plus représentatives du secteur, notamment la FDT, les manifestants résument leurs revendications à travers des communiqués. Celui de la FDT ne manque pas de s’indigner face aux abus dont les fonctionnaires sont victimes. Les syndicalistes de la FDT dénoncent à ce propos «le comportement du secrétaire général et du chef de division du budget au département de l'environnement».
Ils réclament, entre autres, la protection des deniers publics, l’amélioration de la gestion et davantage de liberté au sein de ce département. A titre d’exemple, certaines sources concordantes nous ont informé qu’«à la suite du sit-in de vendredi dernier, le chef de service régional d'Errachidia a été "congédié" sans préavis par le secrétaire général dudit ministère. Et ce, pour le punir pour avoir participé au sit-in.»
Et d’ajouter que les mesures disciplinaires illégales adoptées par ce haut responsable ont touché d’autres fonctionnaires, comme le chauffeur qui a été privé de sa dotation de carburant pour la même raison. Les responsables du département ne respecteraient nullement les droits syndicaux des fonctionnaires, selon notre source. Ce qui n’est pas de nature à favoriser les négociations entre les deux parties.
Ceci dit, les jours à venir s’annoncent déjà chauds dans ce département secoué par plusieurs crises, dont celles liées à la gestion des ressources financières, techniques et humaines. En un mot, la gestion de ce secteur-clé de l’économie nationale poserait problème.
Dans leur communiqué, les syndicalistes de la FDT dénoncent «l’abus de pouvoir devenu monnaie courante dans le département, la marginalisation des cadres et des compétences en matière d'environnement remplacés abusivement par d’autres moins expérimentés, le copinage dans le plan de carrière et l’attribution des primes et des augmentations de salaires réservées à une minorité, le vandalisme enregistré au niveau des locaux des syndicats, l’exploitation des véhicules de services par des responsables qui bénéficient des primes mensuelles de déplacement, le retard enregistré au niveau du remboursement des primes de responsabilité aux chauffeurs et aux cadres du département, etc». Et la liste est longue.
Pour le moment, les syndicalistes préfèrent discuter des problèmes importants, mais l’administration refuse de les écouter.
Aussi prévoient-ils d’autres mouvements de protestation pour pousser les responsables de leur département à prendre au sérieux leurs revendications. Surtout qu’ils ne peuvent plus supporter ces abus qui servent les intérêts de certains responsables au détriment de leurs droits les plus élémentaires.
