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Pressenti pour un départ en raison de son état de santé, la ministre de la Culture, Touria Jabrane, se voit ainsi relevée par Bensalem Himmich. Un juste retour des choses, un autre usfpéiste Mohamed El Achaâri s’étant particulièrement distingué à la tête de ce même département avant l’investiture du gouvernement El Fassi.
Homme de lettres, romancier et philosophe, le nouveau ministre qui enseignait, jusque-là, la philosophie à l’Université Mohammed V, s’est vu décerner plusieurs prix récompensant une œuvre particulièrement riche.Les autres remaniements ministériels effectués par Sa Majesté le Roi, hier, concernent Mohamed El Ansaer, qui se voit nommé ministre d’Etat sans portefeuille. Après avoir rejoint la majorité, suite à la décision du PAM, de passer de l’autre côté, le Mouvement Populaire entre donc, de fait, dans le cabinet El Fassi. Mohammed Ouzine, autre dirigeant du même Mouvement a été nommé secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, poste resté vacant pendant sept mois suite au limogeage d’Ahmed Lakhrif.
Enfin Moncef Belkhayat connu pour être plutôt versé dans les télécommunications, remplace au pied levé,Nawal El Moutawakil, à la tête de la Jeunesse et des Sports.
Il est vrai que depuis quelques semaines, il siège aux côtés de Ali Fassi Fihri à la Fédération de football.
Fonctionnera-t-on avec lui, comme on l’a fait avec El Moutawakil dont on a fait « une militante » du RNI pour les besoins de la cause ?