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La 2ème édition du Festival Ciné Plage, qui sillonne plusieurs villes du Royaume, s'est invitée vendredi soir à Agadir.
Ayant pour objectif de rapprocher le 7e art du grand public en proposant des projections gratuites de films marocains en plein air, cet événement, qui fait escale deux jours durant dans la perle du Souss, met à l'honneur la diversité et la créativité du cinéma national, tout en offrant un moment de partage culturel accessible à tous.
Les projections cinématographiques ont été précédées par des performances artistiques, incluant des spectacles musicaux et folkloriques, offrant ainsi aux spectateurs une expérience immersive mêlant cinéma, musique et patrimoine vivant.
Cette première journée a été ensuite marquée par la projection de deux films marocains, à savoir le film "L'Batal" d’Omar Lotfi, qui narre l'histoire d’Ali, un acteur amateur, qui se retrouve dans une situation étrange après avoir posté un selfie compromettant sur les réseaux sociaux, suivi du film "Marche Verte", un film de Youssef Britel qui relate l'histoire de Massira, femme née le jour de cet événement historique et de la manière dont sa mère, Zhor, a risqué sa vie pour accoucher dans les dunes du Sahara marocain.
La deuxième soirée proposera le film "404.01" de Younes Reggab, centré sur Amna, une neurochirurgienne confrontée à une mystérieuse voix émise par la fréquence radio 404.01, ainsi qu’"Atoman" d’Anouar Moatassim, premier film de super-héros marocain, mettant en scène Hakim Imlil, hacker doté de pouvoirs extraordinaires hérités de ses ancêtres.
Dans une déclaration à la MAP, la directrice régionale du département de la communication à Souss-Massa, Rajae Halila a indiqué que cette initiative vise à mettre en avant la richesse du cinéma marocain, notant que cette manifestation se veut une occasion pour la projection de plusieurs œuvres cinématographiques en plein air et dans des lieux accessibles à tous.
Organisé par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication -Département de la communication-, le festival se poursuit jusqu'au 30 août, faisant escale dans les villes d'Essaouira et Dakhla (29-30 août).
Ayant pour objectif de rapprocher le 7e art du grand public en proposant des projections gratuites de films marocains en plein air, cet événement, qui fait escale deux jours durant dans la perle du Souss, met à l'honneur la diversité et la créativité du cinéma national, tout en offrant un moment de partage culturel accessible à tous.
Les projections cinématographiques ont été précédées par des performances artistiques, incluant des spectacles musicaux et folkloriques, offrant ainsi aux spectateurs une expérience immersive mêlant cinéma, musique et patrimoine vivant.
Cette première journée a été ensuite marquée par la projection de deux films marocains, à savoir le film "L'Batal" d’Omar Lotfi, qui narre l'histoire d’Ali, un acteur amateur, qui se retrouve dans une situation étrange après avoir posté un selfie compromettant sur les réseaux sociaux, suivi du film "Marche Verte", un film de Youssef Britel qui relate l'histoire de Massira, femme née le jour de cet événement historique et de la manière dont sa mère, Zhor, a risqué sa vie pour accoucher dans les dunes du Sahara marocain.
La deuxième soirée proposera le film "404.01" de Younes Reggab, centré sur Amna, une neurochirurgienne confrontée à une mystérieuse voix émise par la fréquence radio 404.01, ainsi qu’"Atoman" d’Anouar Moatassim, premier film de super-héros marocain, mettant en scène Hakim Imlil, hacker doté de pouvoirs extraordinaires hérités de ses ancêtres.
Dans une déclaration à la MAP, la directrice régionale du département de la communication à Souss-Massa, Rajae Halila a indiqué que cette initiative vise à mettre en avant la richesse du cinéma marocain, notant que cette manifestation se veut une occasion pour la projection de plusieurs œuvres cinématographiques en plein air et dans des lieux accessibles à tous.
Organisé par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication -Département de la communication-, le festival se poursuit jusqu'au 30 août, faisant escale dans les villes d'Essaouira et Dakhla (29-30 août).
Bouillon de culture
Festival
Le coup d’envoi de la 19ème édition du Festival Laalaoui qui célèbre le patrimoine populaire local, a été donné, vendredi soir, à Debdou dans la province de Taourirt.
Placé sous le signe «Ensemble pour la préservation du patrimoine culturel de Debdou», cet événement culturel de deux jours est initié par l’Association Aïn Sbilia pour les arts populaires avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication -Département de la culture- et de l’Agence de développement de l’Oriental (ADO) et en coopération avec la commune de Debdou.
Organisé à l'occasion de la célébration de l’anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple et de la Fête de la Jeunesse, ce festival constitue un rendez-vous artistique annuel qui relie le passé au présent et célèbre le patrimoine culturel et artistique de la région.
La cérémonie d'ouverture a été marquée par l’hommage rendu à certaines personnalités, dont des membres de la communauté marocaine résidant à l’étranger pour leur apport considérable dans les domaines culturel et artistique, et par des chants et danses de la musique traditionnelle, interprétés par des groupes artistiques venant de plusieurs provinces, dont Taza, Taounate et Figuig.
Le programme de cette édition comprend notamment un colloque scientifique autour du thème «Patrimoine culturel marocain et enjeux du développement : quels rôles pour la société civile ?», une journée de sensibilisation au cancer et des activités dédiées aux enfants, en plus d'une grande soirée musicale avec la participation d'un groupe d'artistes et de troupes folkloriques, célébrant le riche patrimoine culturel de la région.
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