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Selon le document, cette méthode a permis la saisie d'énormes quantités de stupéfiants ainsi que le démantèlement de nombreux réseaux de trafiquants, tant au Maroc que dans des pays de l'Union européenne, en particulier l'Espagne, la France, la Belgique, l'Allemagne et les Pays-Bas.
"Loin de constituer une quelconque cession de la souveraineté d'un pays, cette méthode représente plutôt l'une des meilleures illustrations de la coopération judiciaire internationale face à l'ennemi commun qu'est le crime organisé, qu'aucun pays ne peut combattre à lui seul", notent les auteurs du document. Avant de relater ces aspects techniques de l'expérience du Royaume dans la lutte contre les stupéfiants, le texte présenté par la délégation marocaine a exposé l'évolution de l'arsenal juridique et législatif dans le domaine, qui stipule notamment que le délit de trafic illégal de drogue commence dès la production du produit et va jusqu'à son transport et son écoulement dans les zones de consommation.
Il met ensuite en exergue la complexité et la dangerosité des méthodes des narcotrafiquants à travers le monde, soulignant qu'il s'agit "par excellence de crimes organisés, commis dans le secret pas des bandes structurées formées de groupes d'individus de diverses nationalités, et agissant à partir de zones géographiques distinctes les unes des autres".