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Les tenants du titre espagnols se retrouvent en quarts de finale pour la septième fois consécutive. De son côté, le Bayern, demi-finaliste l'an passé, s'est montré imperturbable et élimine Arsenal à ce stade de la compétition pour la troisième fois de son histoire.
A Londres, c'est pourtant Arsenal qui avait ouvert le score grâce à Theo Walcott, très actif en début de rencontre. L'attaquant des Gunners se faufilait dans la défense munichoise et déclenchait une puissante frappe du droit qui trompait Manuel Neuer (20e).
A la mi-temps, Arsenal pouvait toujours entretenir l'espoir d'un retournement de situation après sa retentissante défaite 5-1 à l'aller, mais quelques minutes après la reprise, les hommes d'Arsène Wenger perdaient leur capitaine Laurent Koscielny, exclu pour une faute sur Robert Lewandowski.
Sur le penalty qui suivait, le Polonais prenait à contrepied David Ospina pour revenir au score (55e).
A dix contre onze, Arsenal était complètement dépassé et encaissait quatre buts en un quart d'heure.
Arjen Robben profitait d'abord de la passivité de la défense londonienne (68e), puis Douglas Costa, entré en jeu quelques minutes plus tôt, enfonçait Arsenal (78e).
Enfin, Arturo Vidal inscrivait un doublé (80e, 85e) dans un stade Emirates déserté par les supporteurs anglais. Ce nouveau naufrage pourrait-il signer la fin de l'ère Wenger à Arsenal?
Pendant ce temps à Naples, les hommes de Maurizio Sarri, battus 3-1 à l'aller, entamaient le match avec d'excellentes intentions, poussés par leurs bouillants supporteurs du stade San Paolo.
Naples avait fait la moitié du chemin en première période grâce à Dries Mertens (24e), bien servi dans la course par Marek Hamsik. Mais en quelques minutes, tout s'est écroulé pour les Napolitains.
Un premier but de Sergio Ramos, plus haut que tout le monde sur un corner tiré par Toni Kroos, permettait aux Madrilènes de revenir au score (51e).
Six minutes plus tard: nouveau corner tiré par Kroos, côté droit cette fois, nouvelle tête de Ramos - déviée par Mertens - et deuxième but pour le Real.
Le mal était fait et les Napolitains, fatigués, encaissaient un troisième but dans les arrêts de jeu par Alvaro Morata (90e+1).










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