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Rejet total des plans séparatistes visant à porter atteinte à la souveraineté des États
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Le Sommet de l’OCI salue le rôle de SM le Roi dans le soutien à la cause palestinienne
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Focus sur l’importance du dispositif juridique de la presse dans la consolidation de la profession
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Seul Alger semble concerné. Une pseudo-conférence médiatique pour une quelconque solidarité avec les pantins du polisario se passe dans l’indifférence totale
Le Conseil a néanmoins encouragé toutes les parties prenantes au dossier du Sahara à respecter ces droits et à poursuivre leurs efforts respectifs pour les promouvoir et les protéger tant dans nos provinces sahariennes que dans les camps de Tindouf en Algérie.
Depuis quelques années, les résolutions renouvelant le mandat de la MINURSO donnent lieu à débat sur cette question et l’an dernier, la résolution onusienne s’était également bornée à souligner l’importance qu’il y a à améliorer la situation de ceux-ci au Sahara et dans les camps de réfugiés de Tindouf.
L’actuelle victoire diplomatique a provoqué l’ire du Polisario qui s’est dit « dépité et déçu » par la volte-face américaine concernant l’élargissement du mandat de la MINURSO une déception d’autant plus grande que le rapport du secrétaire général des Nations-Unies a lié la question du Sahara non seulement à celle de « la montée de l’instabilité et de l’insécurité au Sahel et à sa périphérie », mais qu’elle entrave aussi « l’intégration plus poussée du Maghreb ». Aussi son Envoyé personnel s’est-il vu confier la mission de continuer à « encourager l’amélioration des relations entre le Maroc et l’Algérie » ; ce pays étant la clé véritable de toute solution définitive, praticable et mutuellement acceptée du dossier saharien.
A preuve, Ban Ki-moon a insisté sur « la nécessité primordiale de traiter le conflit du Sahara » « dans le cadre d’une stratégie plus large pour le Sahel », étant entendu que «l’intégration régionale, notamment grâce au renforcement de l’Union arabe du Maghreb, est un élément clef pour surmonter l’instabilité actuelle et récolter d’importants dividendes économiques, commerciaux et sociaux ». « J’ai bon espoir, précise-t-il, que les progrès sur ce front aideront à renforcer la confiance entre les parties et fourniront un contexte propice au règlement du conflit sahraoui ».
Il faut néanmoins savoir raison garder. En effet, la question des droits de l’Homme ne cesse d’être remise sur le métier au niveau du Conseil de sécurité des Nations unies. Aussi faut-il conforter les avancées que nous avons réalisées à ce propos tout en veillant scrupuleusement à renforcer l’arsenal législatif les concernant et à faire tout ce qui est possible pour barrer la route aux ennemis de notre intégrité territoriale. Notamment en mobilisant non seulement notre appareil diplomatique, mais aussi toutes les instances spécialisées ainsi que celles dont le concours peut nous être précieux pour donner plus de dynamisme à notre diplomatie parallèle.