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Baisser les coûts, supprimer les équipements superflus, réduire "de façon drastique, à moins d'un an" la phase de candidature, ou encore aider la ville-candidate à argumenter face aux opposants, sont quelques-unes des pistes étudiées par le CIO pour endiguer la baisse d'intérêt.
"Les candidatures coûtent encore beaucoup trop cher. Une ville ne peut pas dépenser moins de 30 ou 40 millions de dollars, 50 millions de dollars est le coût moyen. Donc il faut que ça baisse", a affirmé Juan Antonio Samaranch, fils de l'ancien président du CIO.
Pour les JO-2024, seules deux villes - Paris et Los Angeles - ont porté leur candidature jusqu'au bout, alors que Rome, Hambourg ou Budapest se sont retirées de la course.
Pour beaucoup, "les coûts supplémentaires, les incertitudes qui peuvent apparaître au cours de cette période (entre l'octroi et l'organisation des Jeux, ndlr), rendent imprudent de consacrer autant de ressources" à cet événement plutôt qu'à des projets sociaux, a déclaré Samaranch.
Le CIO doit se montrer plus flexible, a estimé Samaranch, pour qui les JO doivent s'inscrire dans un projet de développement de la ville organisatrice sur le long terme.
Le CIO a déjà ouvert la porte à une attribution simultanée des JO 2024 et 2028, dans le but d'anticiper d'autres désaffections des villes potentiellement candidates.










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