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La session du Conseil national de la Fédération démocratique du travail (FDT) consacrée au renouvellement des instances dirigeantes demeurera ouverte. Le Conseil national n’a finalement donc pas réussi dimanche à trancher la question de l’élection et du secrétaire général de la Centrale et du bureau central. Décision a donc été prise tard dans la soirée de laisser sa session ouverte jusqu’au 22 du mois courant.
A ce propos, le porte-parole du congrès, Abdelaziz Rghoui, nous a déclaré que «la procédure suivie dans l’élection du bureau central de la FDT a fait l’objet d’un long débat, que ce soit au niveau de la nature de la Direction de la Fédération, ou bien la représentativité de la femme, ou encore les composantes du syndicat».
Il a souligné que «cette situation est due à l’absence d’un règlement intérieur qui détermine et spécifie tous les mécanismes à même de ne pas se trouver dans pareils cas».
«Entre rejet et soutien de la proposition de la présidence pour la constitution du bureau central, les membres du conseil national n’ont pu parvenir à un accord consensuel», a-t-il tenu à préciser.
Parmi les points divergents, a indiqué Abdelaziz Rghoui, figurent la représentativité de la femme au sein des instances dirigeantes de la Centrale et des sensibilités politiques dont le PSU et la Gauche verte.
Pour ce qui est de l’ambiance, le porte-parole du congrès a souligné que «cette session a connu un débat démocratique, libre et transparent entre tous les membres du Conseil national».
Selon des sources concordantes, la présidence du Congrès envisage la possibilité de tenir la 3ème étape du Conseil national en 2 jours pour accorder le temps nécessaire à la finalisation du processus de renouvellement des instances dans les meilleures conditions.
Notons que le Congrès national de la FDT qui s’est tenu les 26, 27 et 28 novembre à Bouznika s’est déroulé dans une ambiance agréable empreinte d’esprit militant. Et ce, sous le thème «Union et démocratisation du travail syndical pour instaurer la sécurité sociale et les droits syndicaux».
Les syndicalistes de la FDT sont tous convaincus de l’importance de la nouvelle approche relative aux événements nationaux et internationaux, à savoir, les mesures d’austérité, l’endettement extérieur, le grand déficit budgétaire et la hausse des dépenses de la Caisse de compensation. Pour ce faire, ils se sont mobilisés pour mettre en place une nouvelle stratégie de travail afin de moderniser leur lutte contre tous les abus auxquels s’exposent les salariés et les fonctionnaires marocains.
Ainsi, les militants de la FDT misent sur la restructuration des infrastructures (moyens techniques et humains) pour améliorer leur rendement et pallier les lacunes du passé. L’enjeu est de taille, et de grands dossiers préoccupent la classe ouvrière dont l’augmentation des salaires, le SMIG, la promotion en général et particulièrement celle exceptionnelle, les régimes de retraites, etc.
Rappelons également que, depuis le 3ème Congrès, les militants de la FDT font montre d’un grand engagement dans la nouvelle vision adoptée par leur centrale depuis quelques mois. Ils sont déterminés, par ailleurs, à devenir une force de proposition incontournable pour changer certaines donnes qui empêchent à la fois le secteur de l’emploi et le travail syndical d’évoluer. Ce qui résume la vision future de la centrale : s’engager davantage pour une nouvelle ère du syndicalisme national.
A ce propos, le porte-parole du congrès, Abdelaziz Rghoui, nous a déclaré que «la procédure suivie dans l’élection du bureau central de la FDT a fait l’objet d’un long débat, que ce soit au niveau de la nature de la Direction de la Fédération, ou bien la représentativité de la femme, ou encore les composantes du syndicat».
Il a souligné que «cette situation est due à l’absence d’un règlement intérieur qui détermine et spécifie tous les mécanismes à même de ne pas se trouver dans pareils cas».
«Entre rejet et soutien de la proposition de la présidence pour la constitution du bureau central, les membres du conseil national n’ont pu parvenir à un accord consensuel», a-t-il tenu à préciser.
Parmi les points divergents, a indiqué Abdelaziz Rghoui, figurent la représentativité de la femme au sein des instances dirigeantes de la Centrale et des sensibilités politiques dont le PSU et la Gauche verte.
Pour ce qui est de l’ambiance, le porte-parole du congrès a souligné que «cette session a connu un débat démocratique, libre et transparent entre tous les membres du Conseil national».
Selon des sources concordantes, la présidence du Congrès envisage la possibilité de tenir la 3ème étape du Conseil national en 2 jours pour accorder le temps nécessaire à la finalisation du processus de renouvellement des instances dans les meilleures conditions.
Notons que le Congrès national de la FDT qui s’est tenu les 26, 27 et 28 novembre à Bouznika s’est déroulé dans une ambiance agréable empreinte d’esprit militant. Et ce, sous le thème «Union et démocratisation du travail syndical pour instaurer la sécurité sociale et les droits syndicaux».
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