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Colloque international sur l'IA et les droits de l'Homme à Kénitra
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Nasser Bourita représente Sa Majesté le Roi Mohammed VI au 25ème anniversaire de l’intronisation du Roi du Royaume Ashanti
Si le Maroc s'est engagé de bonne foi dans le processus de négociations supervisé par les Nations unies pour mettre un terme définitif au conflit créé sur la question du Sahara par les parties adverses,- bien qu'il ait récupéré ses provinces du Sud selon un processus conforme à la légalité internationale- et ce partant de son souci de faire prévaloir une démarche de dialogue, de négociations et d'ouverture pour mettre fin aux tensions avec le voisinage, il ne saurait se laisser imposer des mesures unilatérales qui empièteraient sur la souveraineté, dès lors que toute la plate-forme convenue dès le début pour la relance des négociations, s'est basée fondamentalement sur une approche consensuelle et négociée pour parvenir à un accord sur une solution globale satisfaisante pour toutes les parties.
C'est cette logique qui continue de présider aux démarches du Maroc dans ce dossier et c'est celle-là même qui l'a amené à décliner en 2007 sa proposition pour une large autonomie dans les provinces du Sud, qui loin d'être une proposition figée, est allée de pair avec toute une dynamique salutaire porteuse de multiples avancées dans les provinces du Sud, particulièrement dans le dossier des droits de l'Homme, que d'aucuns avancent aujourd'hui comme couverture pour plaider en faveur d'un élargissement des prérogatives de la MINURSO.
Face aux arguties fallacieuses des adversaires qui continuent sans vergogne à invoquer à l'encontre du Maroc la question des droits de l'Homme pour jeter le discrédit sur la dynamique réformiste mise en œuvre dans le Royaume depuis plusieurs années et dont les retombées positives sont constatées par tout observateur averti jusque dans les provinces du Sud, la communauté internationale, particulièrement les nations influentes, ont la responsabilité de prendre garde aux manœuvres d'adversaires rodés aux procédés mensongers et aux subterfuges dans lesquels ils sont passés maîtres pour occulter leur registre sinistre en matière de violations des droits humains et ce, depuis plus de trois décennies.
S'il est besoin de mesures ou mécanismes pour favoriser le respect des droits de l’Homme, ils doivent concerner urgemment et en premier lieu les camps où sont retenues contre leur gré des populations condamnées à subir un terrible diktat de leurs geôliers et à végéter dans des conditions inhumaines au mépris de toutes les normes du droit.