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Cet atelier, qui vise à renforcer les capacités d’investigation dans les affaires de corruption, a réuni un groupe d’experts nationaux et internationaux, ainsi que des représentants de différents organes, notamment le Médiateur, le Conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM), le Conseil de la concurrence et la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA), indique jeudi un communiqué de l’ICPC.
L’atelier a également vu la participation des représentants de la Cour des comptes, du ministère de la Fonction publique et de la Modernisation de l’administration, du ministère des Affaires générales et de la Gouvernance, de l’Inspection générale des finances (IGF), de l’Inspection générale de l’administration territoriale (IGAT), des Inspections générales des ministères de la Justice, de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur, de l’Habitat, de l’Industrie, de l’Unité de traitement du renseignement financier (UTRF), de l’Office des changes, ainsi que des organisations de la société civile et des médias, indique la même source. Et de préciser que l’atelier a été organisé conformément aux dispositions de la Constitution qui a conféré des prérogatives de lutte contre la corruption à la future Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption.
L’atelier s’inscrit dans le cadre du projet intitulé «Consolider la capacité institutionnelle au Maroc pour renforcer l’intégrité du secteur public et l’implication des citoyens», soutenu et financé par l’OCDE, conclut l’ICPC.