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Les éventuels litiges entre les deux pays sont, selon la Commission européenne, «hors des compétences de l’UE», rapporte le quotidien espagnol «ABC» dans un article publié sur son portail. Mais elle a en même temps encouragé les deux parties à résoudre tout différend à ce propos et conclure un accord par «des moyens pacifiques en suivant les principes de la charte des Nations unies, les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU et la Convention onusienne relative au droit de la mer», a affirmé Günther Oettinger, commissaire européen à l’Energie.
A noter que l’Espagne a renforcé sa présence militaire dans les Iles Canaries suite à la découverte d’importantes réserves de pétrole dans une zone maritime non-définie par le Maroc et l’Espagne. En effet, le 16 avril 2013, le Bulletin officiel espagnol a publié un décret du ministre de la Défense, Pedro Morenés Eulate, qui autorise la mise en place dans la municipalité de Puerto del Rosario (Fuerteventura), d’une zone militaire.
Cette dernière avait donné l’autorisation en mars 2012, à la compagnie pétrolière espagnole Repsol, d’explorer dans cette zone maritime située entre le Maroc et les Iles Canaries.
Il convient aussi de rappeler que le lieutenant général César Muro Benayas, chef du Commandement militaire des Iles Canaries, avait fait des déclarations au début de l’année 2012 qui avaient soulevé un tollé quand il avait affirmé que l’armée espagnole doit se préparer à gérer un regain de tension avec le Maroc suite à la découverte de gisements de pétrole et de gaz au large du Sahara marocain. «La question du pétrole, qui va prochainement se poser, sera une source d’instabilité et accentuera la tension», avait-il souligné au début de cette année.