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C’était l’occasion pour les membres des bureaux nationaux de relever les multiples dysfonctionnements structurels dont pâtit l’école publique et de faire part de leurs inquiétudes et interrogations quant à l’avenir du système éducatif.
Dans leur communiqué rendu public, les deux syndicats ne cachent pas leur crainte de voir se détériorer davantage la situation dans le secteur et en incombent la responsabilité totale à l’Etat appelé à procéder à une profonde réforme.
Cette situation exige une bonne volonté politique de la part du ministère de l’Education nationale qui, malheureusement, manque de visibilité et de vision claires à même de réussir avec et aux côtés de l’ensemble des composantes la réformé escomptée, ont-ils souligné.
Tout en appelant à l’ouverture d’un dialogue sectoriel sérieux et responsable sur la situation pédagogique et éducative en vue de dresser le bilan de 13 années de tentatives vaines de réforme et les causes des échecs répétitifs, les deux syndicats demandent au ministère à ce que les points en suspens de l’accord du 26 avril 2011 soient appliqués.