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Le chef de la diplomatie marocaine ne pouvait qu’en faire le constat à l’issue de ces discussions informelles qui ont pris fin dimanche. Taïb Fassi Fihri a notamment déploré que face à la bonne volonté du Maroc qui ne cesse de faire part d’idées innovantes pouvant permettre aux négociations de progresser, la position des autres parties reste figée.
Il doit y avoir, toutefois, une autre manche en mars prochain dans l’espoir de voir les parties développer comme le dit l’Envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU, quelques « idées concrètes ». Christopher Ross s’est par ailleurs félicité de cette ambiance marquée par un « engagement sérieux, de franchise et de respect mutuel » sans omettre de mettre aussitôt un petit bémol à tout cela, en précisant que «chaque partie a continué à rejeter la proposition de l’autre comme base unique des négociations à venir ». Il ne peut par ailleurs y avoir d’autres propositions, côté Polisario, que celle dépassée et surréaliste tournant autour de l’organisation de quelque référendum.
Et puis, il est temps que les représentants de la population sahraouie, comme l’a rappelé Fassi Fihri, fassent partie des délégations officielles et qu’ils prennent part aux différentes négociations, au lieu que cela concerne le seul Polisario, de plus en plus contesté jusque dans les sinistres camps de Tindouf.