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Il a souligné que la réalisation de cet objectif suppose une harmonisation et une réadaptation des textes de loi avec les conventions internationales et ce de, manière à améliorer au mieux le système juridique national, plaidant à ce propos pour une participation citoyenne dans cette démarche.
Après avoir dressé le bilan à mi-parcours du Conseil (février-juillet 2013), notamment la loi organique fixant le statut des magistrats, les deux mémorandums concernant le conseil de la jeunesse et de l’action associative, sa participation au débat national sur la réforme de la justice ainsi que ses efforts en faveur de la défense des droits de l’Homme grâce à ses commissions régionales, M. El Yazami a noté que l’action du CNDH n’est point un «luxe intellectuel» ou encore moins une manière de monopoliser la cause des droits de l’Homme et d’exclure les autres partenaires, mais une action concertée et soucieuse de l’indépendance de toutes les composantes de la société qui militent pour la réforme dans le pays.
A l’ordre du jour de cette cinquième session plénière ordinaire du CNDH, figuraient quatre points portant sur les projets de mémorandums relatifs à la loi organique fixant le statut des magistrats et au conseil de la jeunesse et de l’action associative, les grandes orientations inscrites dans le projet de loi organique relatif au CNDH ainsi que le projet du rapport du Conseil sur la situation des droits de l’Homme au Maroc entre mars 2011 et décembre 2012.