Décidément, l’on n’est pas prêt à faire fi des anciennes pratiques. Comme si les précédentes leçons n’avaient servi à rien. Et c’est de l’équipe nationale première de football qu’il s’agit. Une fois encore, certains joueurs, sans prendre le moindre recul, se sont lancés dans des déclarations où apparemment ils n’ont pas pesé leurs mots. Faisant savoir que la qualification au Mondial 2010 est dans les cordes et que la sélection actuelle dispose de tous les atouts pour atteindre cet objectif. L’optimisme et l’ambition sont, certes, fortement recommandés, mais ce n’est pas aux joueurs de faire des déclarations de ce genre qui engagent de ce fait toutes les composantes de l’équipe nationale.
Et l’on garde tous en mémoire les propos tenus par quelques internationaux à la veille de la CAN 2008 où ils claironnaient que l’équipe, en partance pour le Ghana, visait le titre. Alors que, bien avant, le sélectionneur de l’époque, le Français Henri Michel, martelait que la consécration est bien loin d’être dans la poche et qu’une qualification au second tour serait déjà un probant résultat.
Et entre le sacre et l’élimination d’entrée, il n’ y a pas photo. L’opinion publique a été induite en erreur par des éléments non habilités à tenir de tels propos. Le bon sens veut que l’on remédie à cette situation et que l’on pense sérieusement à accorder un autre traitement communicatif à tout ce qui se rapporte à l’équipe nationale. A commencer par la mise en place d’une cellule de communication au vrai sens du terme, joignable du moins aux horaires de bureau pour nous autres journalistes, dont certains n’hésitent pas à hisser des infos tout à fait banales ou erronées au rang de scoop. Une commission susceptible de communiquer toutes les informations fiables sur le Onze marocain, d’autant plus qu’elle pourrait avoir la charge d’apprendre aux joueurs ce qui doit être dit et ce qui ne doit pas l’être.
Et l’on garde tous en mémoire les propos tenus par quelques internationaux à la veille de la CAN 2008 où ils claironnaient que l’équipe, en partance pour le Ghana, visait le titre. Alors que, bien avant, le sélectionneur de l’époque, le Français Henri Michel, martelait que la consécration est bien loin d’être dans la poche et qu’une qualification au second tour serait déjà un probant résultat.
Et entre le sacre et l’élimination d’entrée, il n’ y a pas photo. L’opinion publique a été induite en erreur par des éléments non habilités à tenir de tels propos. Le bon sens veut que l’on remédie à cette situation et que l’on pense sérieusement à accorder un autre traitement communicatif à tout ce qui se rapporte à l’équipe nationale. A commencer par la mise en place d’une cellule de communication au vrai sens du terme, joignable du moins aux horaires de bureau pour nous autres journalistes, dont certains n’hésitent pas à hisser des infos tout à fait banales ou erronées au rang de scoop. Une commission susceptible de communiquer toutes les informations fiables sur le Onze marocain, d’autant plus qu’elle pourrait avoir la charge d’apprendre aux joueurs ce qui doit être dit et ce qui ne doit pas l’être.
Botola Pro D1 : Le Raja toujours aux trousses de l’ASFAR
