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Sa rencontre avec Habib El Malki qui s’est déroulée en présence d’ Elisabeth Guigou, présidente de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale française, et de l’ambassadeur de France à Rabat, a porté sur l’excellence des relations bilatérales unissant le Maroc et la France et les moyens de renforcer la coopération parlementaire entre les deux institutions législatives, souligne un communiqué de la Chambre.
A cette occasion, le président de la Chambre des représentants a salué les liens historiques et solides liant les deux pays, soulignant que l’expérience démocratique française constitue un modèle pour les autres pays.
Il a également passé en revue les réformes majeures initiées par le Royaume, sous la conduite éclairée de S.M le Roi Mohammed VI et consacrées par la constitution de 2011, mettant en exergue le choix démocratique du Royaume, la promotion des droits des femmes, la séparation des pouvoirs et leurs complémentarités, l’édification de l’Etat de droit et la bonne gouvernance.
De son côté, M. Bartolone a mis en relief l’amitié unissant les deux pays et les peuples marocain et français, saluant le niveau de coordination et de concertation en matière des affaires bilatérales et internationales.
Au niveau de l'action parlementaire, Claude Bartolone a exprimé sa satisfaction des résultats du projet de jumelage institutionnel conclu entre la Chambre des représentants, l’Assemblée nationale française et d’autres parlements européens, faisant part de sa volonté de poursuivre la coopération technique et administrative entre les deux institutions législatives pour tirer profit des expériences et d’expertises accumulées.
Quant aux entretiens que le président de l’Assemblée nationale française a eu avec le chef du gouvernement, Saâd Eddine El Othmani, ils ont permis de réaffirmer la solidité des relations excellentes et profondes d'amitié entre les deux pays, ainsi que le haut niveau de coopération bilatérale dans différents domaines.
Au cours de ces entretiens, les deux parties ont pris note de la convergence des points de vue des deux pays sur plusieurs questions régionales et internationales et celles ayant trait aux domaines social, économique, national, a indiqué un communiqué du département du chef du gouvernement, ajoutant que les deux responsables ont également abordé le dossier des relations afro-européennes.
Par ailleurs, et à l’issue de ses entretiens, jeudi à Rabat, avec le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Nasser Bourita, la présidente de la Commission des Affaires étrangères à l'Assemblée nationale, Elisabeth Guigou, a déclaré à la presse que les responsables français ont une grande admiration pour la réussite du Maroc dans sa politique africaine.
«En France, nous avons une grande admiration pour la réussite du Maroc dans sa politique africaine ».
Cette politique retient l'intérêt de la France, en raison des liens naturels entre l'Union européenne et le continent africain, a-t-elle ajouté en affirmant qu’»Il n'existe pas d’enjeux stratégiques plus importants pour l’Europe que de s’intéresser davantage à l’Afrique qui recèle d'immenses potentialités ».
Elle a, par ailleurs, a salué le rôle «décisif» du Maroc dans la réussite de la 22ème Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, dont les travaux s’étaient déroulés, en novembre dernier, à Marrakech.