-
Le porte-parole de l'UE a mis un terme aux tentatives d’exploitation en réaffirmant que ni l’Union européenne, ni aucun de ses Etats membres ne reconnaissent la pseudo “rasd”
-
Ces MRE et expatriés qui posent leurs valises au Maroc
-
Dans l'élan des préparatifs du 12ème Congrès de l'USFP : Un débat politique riche en enseignements
-
Chômage, mépris et exil
Il a ajouté par ailleurs : « Le scrutin du 7 octobre constitue sans nul doute "une nouvelle étape pour les Sahraouis de défendre le modèle démocratique de leur pays, le Maroc", signifiant que cette participation aux échéances électorales dénote également de la contribution active de la population sahraouie à l’édification de fortes institutions nationales.
Dans le cadre de son intervention, M. Lakhrif a mis en avant les efforts du Royaume en vue de consolider la démocratie et le respect des droits de l’Homme à travers des politiques régionales "avancées" de développement durable sur la base d’une approche participative.
Il n’a pas omis de souligner que le plan d’autonomie proposé par le Maroc permettant aux Sahraouis d’exercer pleinement leurs droits tout en gérant leurs propres affaires, constitue la solution "la plus efficace" au différend artificiel autour du Sahara marocain.
Le conseiller a également rappelé que le Maroc a toujours fait preuve de sérieux en répondant favorablement aux appels du Conseil de sécurité en vue de parvenir à un règlement politique définitif à ce différend artificiel.
Il a, dans ce contexte, souligné que la dernière résolution du Conseil a réitéré les paramètres fondamentaux du règlement politique en appelant toutes les parties, notamment les pays voisins, à faire montre de réalisme pour mettre un terme à ce conflit qui n’a que trop duré, engendrant des conditions "précaires et inhumaines" dans les camps de Tindouf sur le territoire algérien.