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La proposition marocaine d'accorder une large autonomie à ses provinces du Sud dans le but de régler définitivement le conflit du Sahara a été favorablement accueillie par plusieurs délégations ayant pris part, du 13 au 21 décembre à Pretoria, au 17ème Festival mondial de la jeunesse et des étudiants (FMJE).
Ces délégations ont été unanimes à souligner, dans des déclarations à la MAP, que le projet d'autonomie constitue la seule «solution réaliste» au problème artificiel autour de la question du Sahara, ajoutant que la proposition du Royaume permettra surtout de mettre un terme au calvaire et au drame humanitaires qu'endurent les populations séquestrées à Tindouf, en territoire algérien.
Il ont également manifesté leur soutien au Maroc qui ne cesse de déployer des efforts inlassables et considérables afin de mettre un terme à l'une des plus longues prises d'otages de l'histoire contemporaine et aux souffrances d'une population sahraouie séquestrée à Tindouf depuis plus de trois décennies, par une poignée de dirigeants séparatistes, devenus riches par le détournement des aides humanitaires.
Ainsi, le président de la délégation américaine à ce Festival, Jordan Farrar, a qualifié «d'acte irresponsable» le fait d'instrumentaliser ce grand rendez-vous de dialogue pour s'ingérer dans les affaires internes du Maroc, ajoutant qu'il est du droit du Maroc de trouver une solution pacifique convenable à la question du Sahara, qui constitue, selon lui, une affaire interne du Royaume.
De son côté, le président de la délégation du Ghana, Abdul Karim Hekib a indiqué que le Maroc a emprunté la voie idoine pour le règlement de la question du Sahara, à travers la proposition du plan d'autonomie des provinces du Sud.
Il a également qualifié de «très judicieuse» la démarche adoptée par le Maroc, ajoutant que «le dialogue est le seul moyen à même de favoriser une solution pacifique à ce conflit qui n'a que trop duré».
Même son de cloche chez Nabil El Katri, membre du comité international d'organisation du FMJE, qui a considéré que la proposition marocaine d'accorder une large autonomie aux provinces du Sud constitue «une lueur d'espoir» sur la voie du règlement de la question du Sahara.
M. El Katri a indiqué que les délégations arabes présentes à ce Festival, ont appelé au «dialogue constructif « entre les parties en conflit sur la base de la proposition marocaine d'autonomie, soulignant que la question du Sahara est une affaire interne du Maroc.
Le secrétaire général de la jeunesse communiste chilienne (JJ.CC), Oscar Aroca a, quant à lui, souligné que l'approche adoptée par le Maroc, à travers son plan d'autonomie des provinces du Sud, constitue «un pas en avant» vers le règlement de la question du Sahara.
«Nous sommes au courant du problème du Sahara et nous souhaitons que ce différend aboutisse le plus tôt possible à une issue, à travers le dialogue et les négociations», a-t-il ajouté.
De son côté, le président de la délégation de la République démocratique du Congo (RDC), Patrick Baraka Bawa, a indiqué que le Maroc, avec sa proposition d'autonomie des provinces du Sud, a fait le bon choix pour le règlement du conflit du Sahara, qui a handicapé l'émergence d'une Afrique unie et solidaire.
Il a précisé que la présence en force de la délégation marocaine à ce Festival mondial est «un signe révélateur de l'esprit de maturité politique et d'ouverture sur l'autre, dont les Marocains ont toujours fait preuve».
Le projet d'autonomie a été également qualifié par le président de la délégation mozambicaine d'«initiative louable» devant favoriser un règlement de la question du Sahara.
Pour sa part, le secrétaire des relations internationales du comité national de la jeunesse communiste du Mexique, Diego Hernandez Cruz, a assuré que le règlement de la question du Sahara passe nécessairement par le dialogue constructif.
«Entre peuples frères ayant des liens séculaires, je crois que la solution pacifique et le dialogue sont l'unique pour parvenir au règlement de la question du Sahara», a-t-il dit.
Le Maroc était présent en force à ce Festival avec plus de 150 congressistes représentant la Jeunesse de l'Union socialiste des forces populaires, du Parti du progrès et du socialisme, du Parti de l'Istiqlal et du Mouvement de la jeunesse démocratique progressiste.
Plus de 16.000 jeunes de 140 pays ont pris part à cet évènement international organisé depuis 1947 par la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique, en collaboration avec l'Internationale des étudiants.
Ces délégations ont été unanimes à souligner, dans des déclarations à la MAP, que le projet d'autonomie constitue la seule «solution réaliste» au problème artificiel autour de la question du Sahara, ajoutant que la proposition du Royaume permettra surtout de mettre un terme au calvaire et au drame humanitaires qu'endurent les populations séquestrées à Tindouf, en territoire algérien.
Il ont également manifesté leur soutien au Maroc qui ne cesse de déployer des efforts inlassables et considérables afin de mettre un terme à l'une des plus longues prises d'otages de l'histoire contemporaine et aux souffrances d'une population sahraouie séquestrée à Tindouf depuis plus de trois décennies, par une poignée de dirigeants séparatistes, devenus riches par le détournement des aides humanitaires.
Ainsi, le président de la délégation américaine à ce Festival, Jordan Farrar, a qualifié «d'acte irresponsable» le fait d'instrumentaliser ce grand rendez-vous de dialogue pour s'ingérer dans les affaires internes du Maroc, ajoutant qu'il est du droit du Maroc de trouver une solution pacifique convenable à la question du Sahara, qui constitue, selon lui, une affaire interne du Royaume.
De son côté, le président de la délégation du Ghana, Abdul Karim Hekib a indiqué que le Maroc a emprunté la voie idoine pour le règlement de la question du Sahara, à travers la proposition du plan d'autonomie des provinces du Sud.
Il a également qualifié de «très judicieuse» la démarche adoptée par le Maroc, ajoutant que «le dialogue est le seul moyen à même de favoriser une solution pacifique à ce conflit qui n'a que trop duré».
Même son de cloche chez Nabil El Katri, membre du comité international d'organisation du FMJE, qui a considéré que la proposition marocaine d'accorder une large autonomie aux provinces du Sud constitue «une lueur d'espoir» sur la voie du règlement de la question du Sahara.
M. El Katri a indiqué que les délégations arabes présentes à ce Festival, ont appelé au «dialogue constructif « entre les parties en conflit sur la base de la proposition marocaine d'autonomie, soulignant que la question du Sahara est une affaire interne du Maroc.
Le secrétaire général de la jeunesse communiste chilienne (JJ.CC), Oscar Aroca a, quant à lui, souligné que l'approche adoptée par le Maroc, à travers son plan d'autonomie des provinces du Sud, constitue «un pas en avant» vers le règlement de la question du Sahara.
«Nous sommes au courant du problème du Sahara et nous souhaitons que ce différend aboutisse le plus tôt possible à une issue, à travers le dialogue et les négociations», a-t-il ajouté.
De son côté, le président de la délégation de la République démocratique du Congo (RDC), Patrick Baraka Bawa, a indiqué que le Maroc, avec sa proposition d'autonomie des provinces du Sud, a fait le bon choix pour le règlement du conflit du Sahara, qui a handicapé l'émergence d'une Afrique unie et solidaire.
Il a précisé que la présence en force de la délégation marocaine à ce Festival mondial est «un signe révélateur de l'esprit de maturité politique et d'ouverture sur l'autre, dont les Marocains ont toujours fait preuve».
Le projet d'autonomie a été également qualifié par le président de la délégation mozambicaine d'«initiative louable» devant favoriser un règlement de la question du Sahara.
Pour sa part, le secrétaire des relations internationales du comité national de la jeunesse communiste du Mexique, Diego Hernandez Cruz, a assuré que le règlement de la question du Sahara passe nécessairement par le dialogue constructif.
«Entre peuples frères ayant des liens séculaires, je crois que la solution pacifique et le dialogue sont l'unique pour parvenir au règlement de la question du Sahara», a-t-il dit.
Le Maroc était présent en force à ce Festival avec plus de 150 congressistes représentant la Jeunesse de l'Union socialiste des forces populaires, du Parti du progrès et du socialisme, du Parti de l'Istiqlal et du Mouvement de la jeunesse démocratique progressiste.
Plus de 16.000 jeunes de 140 pays ont pris part à cet évènement international organisé depuis 1947 par la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique, en collaboration avec l'Internationale des étudiants.
