-
L’USFP ne terrorise point ni ne se laisse terroriser
-
Présentation de "Nouvelle Géographie du Maroc" : Une analyse des mutations de la société et de l'espace ces derniers 20 ans
-
Les frais du Hajj au titre de l'organisation officielle fixés sur la base de services clairement définis
-
Opération Marhaba 2025 : L'Espagne se félicite de la "coordination exemplaire" avec le Maroc

Le chef du gouvernement Abdelilah Benkirane a répondu favorablement à la demande du député de l’USFP, Abdelhadi Khairat, pour la tenue d’un colloque national sur le monde rural.
La proposition faite par le Groupe socialiste à la Chambre des représentants a été accueillie positivement par le gouvernement, la majorité et l’opposition, et ce à l’occasion de la séance mensuelle de politique générale, dont l’un des thèmes traités a concerné le monde rural.
Noms amazighs
Le Groupe socialiste à la Chambre des représentants a proposé que les officiers de l’état civil ne refusent plus d’inscrire quelques noms marocains, particulièrement ceux à connotation amazighe dans leurs registres, considérant ce refus comme une atteinte aux droits de l’Homme.
La proposition de loi présentée par l’opposition ittihadie concerne la modification de l’article 20 et b21 de la loi régissant l’état civil.
Presse
Le rapport sur la liberté de la presse publié par «Reporters sans frontières» est trop peu flatteur pour le Maroc. Le classement 2013 de la liberté de la presse place le Maroc à la 136ème place (sur 179 pays). Le Maroc ne gagne que deux petites places par rapport à l’année dernière et demeure parmi les mal classés. RSF évoque notamment depuis l’avènement du gouvernement Benkirane, «La dépénalisation des délits de presse qui tarde à se concrétiser. L’arbitraire et l’absence de transparence sont souvent de mise dans les prises de décision et dans l’octroi et le retrait des accréditations».
Saisie
Des quantités de haschisch et d’armes légères auraient été saisies par la police d’Errachidia. Plusieurs estafettes et des policiers de tous les services avaient assiégé le quartier Targa, où l’on aurait mis la main sur ces produits. La ville reste, en effet, un passage de tous les trafiquants et contrebandiers venant de Taouz, Tafraout N’Aït Khebbach et Bouchair.