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L’attitude irresponsable de celui qu’on appelle désormais le ministre candidat continue d’intriguer la classe politique à Meknès et désormais à l’échelle nationale. Dénonçant les dérapages répétés et le non-respect par ce candidat des lois qu’il est censé respecter de par sa fonction, la classe politique hausse le ton.
En effet, ne pouvant plus supporter le désordre entretenu par ce dernier, des représentants locaux des partis de la Koutla (Istiqlal, USFP et PPS) ont clairement dénoncé dans un communiqué commun les dérapages répétés de ce candidat qui se croit tout permis.
Faisant fi des dispositions les plus élémentaires des lois électorales, le ministre candidat s’était déjà tristement illustré en se lançant dans la campagne avant même l’ouverture officielle de celle-ci. Alors que l’on croyait avoir tout vu, le postulant persiste dans ses dérapages, allant jusqu’à recourir à l’achat des voix. Il n’a pas hésité à terroriser les futurs électeurs, il s’est même offert le service des dealers et personnes non recommandables de la place, persuadé qu’il est au-dessus des lois. En plus de ces dérapages, le ministre candidat ose même transformer certains établissements publics en lieux de campagne.
C’est pour attirer l’attention de l’opinion publique et mettre les autorités de la région face à leur responsabilité que la Koutla a décidé de dénoncer cette façon de faire la politique, espérant ainsi que les pouvoirs publics sauront mettre un terme à ce triste comportement qui porte atteinte à la politique.
Soulignons que le PJD s’en est aussi pris au même candidat, dénonçant ses nombreux dérapages.
En effet, ne pouvant plus supporter le désordre entretenu par ce dernier, des représentants locaux des partis de la Koutla (Istiqlal, USFP et PPS) ont clairement dénoncé dans un communiqué commun les dérapages répétés de ce candidat qui se croit tout permis.
Faisant fi des dispositions les plus élémentaires des lois électorales, le ministre candidat s’était déjà tristement illustré en se lançant dans la campagne avant même l’ouverture officielle de celle-ci. Alors que l’on croyait avoir tout vu, le postulant persiste dans ses dérapages, allant jusqu’à recourir à l’achat des voix. Il n’a pas hésité à terroriser les futurs électeurs, il s’est même offert le service des dealers et personnes non recommandables de la place, persuadé qu’il est au-dessus des lois. En plus de ces dérapages, le ministre candidat ose même transformer certains établissements publics en lieux de campagne.
C’est pour attirer l’attention de l’opinion publique et mettre les autorités de la région face à leur responsabilité que la Koutla a décidé de dénoncer cette façon de faire la politique, espérant ainsi que les pouvoirs publics sauront mettre un terme à ce triste comportement qui porte atteinte à la politique.
Soulignons que le PJD s’en est aussi pris au même candidat, dénonçant ses nombreux dérapages.
