Le 107ème derby casablancais a été, de manière générale, à la hauteur des attentes des supporters des deux clubs.
Justement, nous avons assisté à un match marqué par le fair-play des principaux protagonistes, les joueurs.
A propos de la confrontation, du côté rajaoui plus précisément, on a l'impression que la règle a été une fois encore scrupuleusement respectée. Cela devient presque monnaie courante de voir le RCA troublé durant le premier quart d'heure du jeu. Chose que le WAC semble avoir bien exploitée pour inscrire dès la neuvième minute son but par l'entremise d'Abdelhak Aït Laârif.
Quant aux coéquipiers du vétéran capitaine, Abdelatif Jrindou, il leur a fallu 80 minutes pour parvenir à remettre les pendules à l'heure. Un but d'or et une égalisation combien précieuse qui permet aux Rajaouis de se réconcilier avec leur public et ce, après une série de contre-performances.
Mais il faut dire que les opérations offensives des Verts ont somme toute manqué de concentration et de précision. Avec un Slimani non aussi retentissant que Belkhdar sur le flanc gauche ; un Mesloub toujours victime de ses propres élans de surexcitation dans le jeu, un Zerouali cassant impunément les hors-jeu, et un Fettah abusant de courtes passes en largeur.
Ceci dit, il convient de saluer le retour de Jrindou, qui a sorti un grand match malgré une inactivité d'un an ou presque. Sa présence a été donc d'un grand apport et d'un soutien moral pour ses partenaires, d'autant plus que son expérience a été derrière la neutralisation de plusieurs attaques wydadies qui auraient pu faire mouche.
On a assisté ce dimanche à un autre Raja ne manquant pas de qualités. C'est probablement dû au retour de Jrindou et à d'autres facteurs. Car il ne faut pas oublier que les derbys sont particuliers et chaque équipe ne ménage aucun effort pour se donner à fond et à sortir son meilleur jeu. La circonstance se suffisait à elle-même pour être motivante et favorable à un spectacle de bonne facture. Au-delà de toutes ces considérations, nous devons nous féliciter de la qualité de jeu, garantie par les joueurs des deux grandes écoles casablancaises de football, et qui devrait suffire pour inspirer respect entre les fans des deux clubs.
Aussi, devons nous remercier toutes les parties qui ont veillé à garantir la réussite de ce show footballistique de la métropole.
(* Supportrice du Raja)
Justement, nous avons assisté à un match marqué par le fair-play des principaux protagonistes, les joueurs.
A propos de la confrontation, du côté rajaoui plus précisément, on a l'impression que la règle a été une fois encore scrupuleusement respectée. Cela devient presque monnaie courante de voir le RCA troublé durant le premier quart d'heure du jeu. Chose que le WAC semble avoir bien exploitée pour inscrire dès la neuvième minute son but par l'entremise d'Abdelhak Aït Laârif.
Quant aux coéquipiers du vétéran capitaine, Abdelatif Jrindou, il leur a fallu 80 minutes pour parvenir à remettre les pendules à l'heure. Un but d'or et une égalisation combien précieuse qui permet aux Rajaouis de se réconcilier avec leur public et ce, après une série de contre-performances.
Mais il faut dire que les opérations offensives des Verts ont somme toute manqué de concentration et de précision. Avec un Slimani non aussi retentissant que Belkhdar sur le flanc gauche ; un Mesloub toujours victime de ses propres élans de surexcitation dans le jeu, un Zerouali cassant impunément les hors-jeu, et un Fettah abusant de courtes passes en largeur.
Ceci dit, il convient de saluer le retour de Jrindou, qui a sorti un grand match malgré une inactivité d'un an ou presque. Sa présence a été donc d'un grand apport et d'un soutien moral pour ses partenaires, d'autant plus que son expérience a été derrière la neutralisation de plusieurs attaques wydadies qui auraient pu faire mouche.
On a assisté ce dimanche à un autre Raja ne manquant pas de qualités. C'est probablement dû au retour de Jrindou et à d'autres facteurs. Car il ne faut pas oublier que les derbys sont particuliers et chaque équipe ne ménage aucun effort pour se donner à fond et à sortir son meilleur jeu. La circonstance se suffisait à elle-même pour être motivante et favorable à un spectacle de bonne facture. Au-delà de toutes ces considérations, nous devons nous féliciter de la qualité de jeu, garantie par les joueurs des deux grandes écoles casablancaises de football, et qui devrait suffire pour inspirer respect entre les fans des deux clubs.
Aussi, devons nous remercier toutes les parties qui ont veillé à garantir la réussite de ce show footballistique de la métropole.
(* Supportrice du Raja)
C'est 3 à 0 pour la Renaissance Marocaine de Berkane
