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L’incident s’est produit en présence de plusieurs associatifs marocains et de Salek Mahjoub, le dissident du Polisario, fondateur de Khatt Achahid. Cette présence de Marocains et de l’opposant au Polisario a contrarié l’animateur de la conférence. Celui-ci a refusé toute intervention des Marocains et de Mahjoub Salek de crainte que leurs déclarations ne contredisent les allégations du Polisario et ne démontrent aux Basques que les thèses qu’il défend sont infondées. Notons que les Basques qui suivent de près l’évolution que connaît l’affaire du Sahara sont de moins en moins nombreux à soutenir le Polisario dont ils découvrent petit à petit l’inféodation à l’Algérie et que les détournements des aides alimentaires dénoncés par l’UE ont fini par ouvrir les yeux des Européens, en général et des Basques, surtout sur les agissements inhumains qui ont affamé des dizaines de milliers de Sahraouis cantonnés dans les camps de Tindouf et privés de l’unique source de ravitaillement.
Par ailleurs, de violentes pluies se sont abattues, ces derniers jours, sur les camps de Tindouf.
Si, jusque-là on ne déplore pas de victimes, les dégâts matériels sont énormes. C’est ce qu’indiquent des sites électroniques proches du Polisario. Des milliers de Sahraouis errent à travers Lahmada, leurs masures en terre battue se sont écroulées sous la violence des pluies et des crues des oueds. La gravité de cette situation varie selon les camps. Dans le camp de Laâyoune situé entre plusieurs collines, la situation est déplorable et les gens dépossédés de tous leurs biens et craignant d’être emportés par les flots, cherchent refuge sur les hauteurs avoisinantes. Cette situation, indiquent les médias, risque de s’aggraver avec la tombée de nouvelles pluies annoncées par la météo.
Rappelons que depuis 2.006, la région de Lahmada n’a pas connu une telle pluviométrie. Les années 1994 et 2006 étaient des années où dans les camps avaient été enregistrées des pertes humaines, de bétail et d’importants dégâts matériels à cause des inondations.