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Al Ittihad Al Ichtiraki souligne que l'USFP a tenu à présenter un programme national aux électeurs et ses candidats dans les villes, les villages et les régions, élaborer des plates-formes basées sur les exigences locales et sur l'évaluation que le parti a établie pour relever les dysfonctionnements et présenter les propositions en vue de disposer de collectivités territoriales aptes à améliorer les services sociaux et développer les infrastructures nécessaires, dans le cadre d'une approche de concertation avec les citoyens.
Quoiqu'elles soient capables de se dissimuler sous différentes étiquettes et disposent de moyens et de réseaux leur permettant d'exécuter leurs plans et détourner les collectivités territoriales pour servir leurs intérêts particuliers, les "forces de la corruption" peuvent être identifiées par les énormes sommes d'argent qu'ils dissipent durant leurs campagnes électorales, relève l'éditorialiste, appelant les électeurs à déjouer leurs manœuvres le jour du scrutin en votant contre leurs choix et leurs plans.
Le Matin affirme qu'une série de mesures administratives et juridiques ont été prises pour garantir la crédibilité de ce rendez-vous électoral. L'espoir est de pouvoir atteindre un taux plus élevé vu les enjeux liés à ces échéances, notamment ceux en rapport avec la gouvernance locale et régionale.
Des changements de taille dans la gestion de la chose locale ont été mis en place par le nouveau cadre juridique qui a élargi le rôle des collectivités territoriales. Les défis sont grands tout comme les ambitions des partis politiques pour qui les élections de ce vendredi constituent un véritable examen, note l'analyste.
Assabah dénonce la dégradation du discours politique tenu par certains leaders de partis, "qui a excédé toutes les règles de la différence" pour se transformer en "un conflit interindividuel" parsemé d'offenses et d'injures.
Pour l'éditorialiste, le niveau de ce discours traduit à nouveau la crise dans laquelle plongent les partis politiques qui ont opté pour les joutes au détriment des programmes électoraux.
A entendre les propos inconvenants tenus par-ci par-là par certains chefs de partis politiques, on dirait une scène caricaturale incompatible avec l'histoire des partis et la mission de leurs dirigeants, juge-t-il, soulignant la nécessité d'avoir de grands leaders pour construire le Maroc de demain et non des leaders qui font reculer le Maroc en arrière avec des discours aux antipodes des valeurs et des principes des Marocains.