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Le mois de décembre aura été caractérisé par le nombre important de secousses telluriques qui ont été enregistrées dans différentes régions du Royaume.
Selon le Laboratoire géophysique du Centre national pour la recherche scientifique et technique (CNRST), 9 secousses auraient été recensées depuis le début de ce mois. La première secousse d’une magnitude de 2,8 sur l’échelle de Richter a été enregistrée à Khénifra dans la soirée du 1er décembre, alors que la ville d’Al Hoceima a connu les 6 et 7 décembre deux séismes de 2,5 et 2,7 degrés de magnitude sur la même échelle.
Au Sud, la ville de Ouarzazate a été secouée deux fois les 7 et 15 décembre par des séismes d’une magnitude allant de 2,6 à 2,8 degrés sur l’échelle de Richter.
Toujours selon le Laboratoire géophysique, à Taounate, la terre a tremblé le 8 de ce mois à la suite d’une secousse tellurique d’une magnitude de 2,9 degrés sur l’échelle Richter, alors qu’à Sidi Kacem deux secousses de même magnitude (3,1 degrés) ont été enregistrées dans la même journée.
La dernière secousse tellurique est celle que tout le monde a ressentie jeudi. D’une magnitude de 5,5 degrés sur l’échelle ouverte de Richter, cette secousse a été ressentie notamment au niveau des villes de Rabat, Casablanca, Tanger, Kénitra, Meknès, Fès, Safi et Marrakech.
Contacté par Libé, Nacer Jabbour, le chef de service de la surveillance et alerte sismique à l’Institut national de géophysique, nous a déclaré que le choc de jeudi se place dans le contexte géodynamique entre les plaques tectoniques africaines et eurasiennes dans la partie ibérique. Commentant le nombre de secousses de faibles magnitudes enregistrées depuis le début de ce mois, le même responsable a souligné que ces chocs sont normaux, puisque même en période d’accalmie, l’activité sismique continue. Et d’ajouter que l’aptitude du réseau sismologique national à l’enregistrement de l’activité sismique en temps réel et les efforts humains déployés pour son exploitation et sa maintenance, le Laboratoire de géophysique LAG du CNRST, nous permet d’assurer la surveillance sismique du territoire national.
Toujours est-il que le Maroc reste défaillant en matière de constructions parasismiques. A noter que le Maroc qui a connu plusieurs versions de la réglementation parasismique est régi en le domaine par une version révisée et actualisée. Ses normes qui sont définies par le ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de l’Aménagement de l’Espace sont loin d’être appliquées sur le terrain. Même les notes ministérielles qui insistent sur l’obligation de la présence de cette norme dans le dossier de toute demande de construction restent lettre morte.
Selon le Laboratoire géophysique du Centre national pour la recherche scientifique et technique (CNRST), 9 secousses auraient été recensées depuis le début de ce mois. La première secousse d’une magnitude de 2,8 sur l’échelle de Richter a été enregistrée à Khénifra dans la soirée du 1er décembre, alors que la ville d’Al Hoceima a connu les 6 et 7 décembre deux séismes de 2,5 et 2,7 degrés de magnitude sur la même échelle.
Au Sud, la ville de Ouarzazate a été secouée deux fois les 7 et 15 décembre par des séismes d’une magnitude allant de 2,6 à 2,8 degrés sur l’échelle de Richter.
Toujours selon le Laboratoire géophysique, à Taounate, la terre a tremblé le 8 de ce mois à la suite d’une secousse tellurique d’une magnitude de 2,9 degrés sur l’échelle Richter, alors qu’à Sidi Kacem deux secousses de même magnitude (3,1 degrés) ont été enregistrées dans la même journée.
La dernière secousse tellurique est celle que tout le monde a ressentie jeudi. D’une magnitude de 5,5 degrés sur l’échelle ouverte de Richter, cette secousse a été ressentie notamment au niveau des villes de Rabat, Casablanca, Tanger, Kénitra, Meknès, Fès, Safi et Marrakech.
Contacté par Libé, Nacer Jabbour, le chef de service de la surveillance et alerte sismique à l’Institut national de géophysique, nous a déclaré que le choc de jeudi se place dans le contexte géodynamique entre les plaques tectoniques africaines et eurasiennes dans la partie ibérique. Commentant le nombre de secousses de faibles magnitudes enregistrées depuis le début de ce mois, le même responsable a souligné que ces chocs sont normaux, puisque même en période d’accalmie, l’activité sismique continue. Et d’ajouter que l’aptitude du réseau sismologique national à l’enregistrement de l’activité sismique en temps réel et les efforts humains déployés pour son exploitation et sa maintenance, le Laboratoire de géophysique LAG du CNRST, nous permet d’assurer la surveillance sismique du territoire national.
Toujours est-il que le Maroc reste défaillant en matière de constructions parasismiques. A noter que le Maroc qui a connu plusieurs versions de la réglementation parasismique est régi en le domaine par une version révisée et actualisée. Ses normes qui sont définies par le ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de l’Aménagement de l’Espace sont loin d’être appliquées sur le terrain. Même les notes ministérielles qui insistent sur l’obligation de la présence de cette norme dans le dossier de toute demande de construction restent lettre morte.
