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Le long-métrage "Résilience" de son réalisateur Mohamed Karrat a été projeté mardi soir en avant-première à Casablanca, devant un parterre d’artistes, de critiques de cinéma et de journalistes.
Ce film dont la sortie dans les salles nationales aura lieu ce mercredi, est porté par Asmaa Khamlichi qui y joue le rôle principal tout en participant à sa production. Une première pour elle.
Le film aborde la condition féminine à travers l'histoire de deux sœurs confrontées à la douleur, à la perte et à la reconstruction de soi.
Dans une déclaration à la presse, Mohamed Karrat a indiqué que ce film s’inscrit dans le droit fil de ses précédentes réalisations à la fois réalistes et intimistes.
Pour sa part, l’actrice et désormais productrice Asmaa Khamlichi a confié que "Résilience" représente pour elle une expérience cinématographique inédite qui explore l’extraordinaire capacité de la femme de se reconstruire après les accidents de la vie, soulignant le rôle de l’art et tout particulièrement le cinéma dans le changement au sein de la société.
D’une durée de 90 minutes, "Résilience" est joué également par Asmaa El Arbouini, Dean Mountaki, Asmaa Benzakour ou encore Sami El Ouali.
Ce film dont la sortie dans les salles nationales aura lieu ce mercredi, est porté par Asmaa Khamlichi qui y joue le rôle principal tout en participant à sa production. Une première pour elle.
Le film aborde la condition féminine à travers l'histoire de deux sœurs confrontées à la douleur, à la perte et à la reconstruction de soi.
Dans une déclaration à la presse, Mohamed Karrat a indiqué que ce film s’inscrit dans le droit fil de ses précédentes réalisations à la fois réalistes et intimistes.
Pour sa part, l’actrice et désormais productrice Asmaa Khamlichi a confié que "Résilience" représente pour elle une expérience cinématographique inédite qui explore l’extraordinaire capacité de la femme de se reconstruire après les accidents de la vie, soulignant le rôle de l’art et tout particulièrement le cinéma dans le changement au sein de la société.
D’une durée de 90 minutes, "Résilience" est joué également par Asmaa El Arbouini, Dean Mountaki, Asmaa Benzakour ou encore Sami El Ouali.
Bouillon de culture
"Arco"
Avec "Arco" du Français Ugo Bienvenu, Natalie Portman s'essaie à la production d'un long métrage d'animation, avec l'envie de "faire des films qui créent un monde meilleur" pour les enfants.
La star américaine, connue pour ses rôles dans "Black Swan" ou "Thor", est venue présenter au festival Lumière à Lyon, dans le centre-est de la France, cette fable écofuturiste qu'elle a coproduite et dont elle assure une des voix.
Sacré Grand prix du Festival d'Annecy (sud-est) et un temps pressenti pour représenter la France à l'Oscar du meilleur film international, "Arco" raconte l'histoire d'un petit garçon du même nom vivant dans un futur lointain en harmonie avec la nature.
Une cape arc-en-ciel lui permet de voyager dans le temps. Mais il perd le contrôle de son tout premier vol et tombe dans un autre futur, plus proche de nous, assombri par des catastrophes climatiques à répétition. Il y rencontre Iris, une petite fille du même âge qui va tout faire pour qu'il puisse rentrer chez lui.
Le film se termine sur un appel à croire en la force de la créativité, au pouvoir de changer les choses.
"Nous voulons faire des films qui créent un monde meilleur pour nos enfants, et que nous pouvons partager avec nos enfants", a expliqué Natalie Portman, elle-même mère de deux enfants, lors d'une avant-première lundi.
Avec "Arco" du Français Ugo Bienvenu, Natalie Portman s'essaie à la production d'un long métrage d'animation, avec l'envie de "faire des films qui créent un monde meilleur" pour les enfants.
La star américaine, connue pour ses rôles dans "Black Swan" ou "Thor", est venue présenter au festival Lumière à Lyon, dans le centre-est de la France, cette fable écofuturiste qu'elle a coproduite et dont elle assure une des voix.
Sacré Grand prix du Festival d'Annecy (sud-est) et un temps pressenti pour représenter la France à l'Oscar du meilleur film international, "Arco" raconte l'histoire d'un petit garçon du même nom vivant dans un futur lointain en harmonie avec la nature.
Une cape arc-en-ciel lui permet de voyager dans le temps. Mais il perd le contrôle de son tout premier vol et tombe dans un autre futur, plus proche de nous, assombri par des catastrophes climatiques à répétition. Il y rencontre Iris, une petite fille du même âge qui va tout faire pour qu'il puisse rentrer chez lui.
Le film se termine sur un appel à croire en la force de la créativité, au pouvoir de changer les choses.
"Nous voulons faire des films qui créent un monde meilleur pour nos enfants, et que nous pouvons partager avec nos enfants", a expliqué Natalie Portman, elle-même mère de deux enfants, lors d'une avant-première lundi.