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Durant les deux dernières décennies, les échanges économiques ont dominé la relation sino-russe, Moscou fournissant à Pékin des technologies militaires et spatiales ainsi que du pétrole, tout en important massivement des produits de consommation courante chinois.
L'une des prncipales priorités étant de porter les échanges "à 100 milliards de dollars d'ici 2015" et de "développer le partenariat énergétique".
Un accord sur l'augmentation des livraisons à la Chine va être signé à l'occasion du sommet, a indiqué le ministre russe de l'Energie Alexandre Novak au quotidien économique Vedomosti. "Actuellement nous fournissons 15 millions de tonnes par an et 50 millions de tonnes n'est pas un objectif inaccessible", a déclaré le président de Rosneft Igor Setchine sur la chaîne publique Rossia 24.
La Russie, qui cherche à diversifier ses livraisons d'hydrocarbures en dehors de l'Europe, voudrait aussi finaliser un accord gazier lui permettant d'acheminer vers la Chine près de 70 milliards de m3 dans les 30 ans à venir.
La Russie et la Chine vont aussi signer un accord préliminaire permettant à des groupes chinois de participer au développement de l'Extrême-Orient russe et d'investir dans la construction de routes ainsi que dans des projets de télécommunication, a souligné M. Sanakoïev.
Selon Dmitri Trenine, du centre Carnegie à Moscou, la visite du président chinois sera dominée par un important volet économique. La Syrie, dont les deux pays sont alliés, et la Corée du Nord, qui a effectué le mois dernier son troisième essai nucléaire, devraient par ailleurs figurer en bonne place au menu des entretiens entre les deux chefs d'Etat.

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