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Les 1ères Journées Doctorales de l'UPF, le 24 janvier à Fès
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Région de l’Oriental: Lancement d’une opération de recensement et de ratissage des bâtiments menaçant ruine
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Fès: Opération de circoncision collective
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Guelmim : Campagne de sensibilisation à la vaccination contre la rougeole en milieu scolaire
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Khouribga: Des projets générateurs de revenus au profit d’anciens détenus
Les effluves insupportables infestent la place et infligent un dur supplice aux sens olfactifs des passants. Alors que cela se passe à quelques encablures du dispensaire et du siège communaux. Curieuse promiscuité, serait-on tenté de dire. Il est donc impossible que l’existence d’un tel point noir échappe à la connaissance des responsables locaux. Du coup, tout laisse croire que ceux-ci s’accommodent sans gêne d’une telle insalubrité. Sinon, pourquoi le conseil communal n’intervient-il pas pour donner un grand coup de balai dans les lieux squattés par le dépotoir et y assurer le passage régulier des éboueurs, tout en avertissant les pollueurs de cesser leur incivilité, sous peine de sévir à leur encontre en leur adressant des PV en cas de récidive? Pourquoi le caïd d’Aït Ouafkka qui en assume une part de responsabilité eu égard aux attributions conférées à l’autorité de tutelle qu’il représente, ne fait-il pas valoir ses compétences en la matière dans ce sens? Des questions auxquelles les habitants de Doutemanroute et du Souk Khemis Aït Ouafkka attendent des réponses. Surtout que le propriétaire du bâtiment dont le collecteur des eaux usées étant incriminé, est déjà dénoncé auprès des autorités locales, mais en vain.