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Huit sénateurs - quatre alliés de M. Obama et quatre républicains - ont présenté lundi un plan visant à offrir, sous conditions, la perspective d’une régularisation voire d’une naturalisation aux quelque 11 millions de clandestins vivant sur le sol américain.
M. Obama, qui a lui-même énoncé mardi les principes sur lesquels il voudrait voir une telle réforme s’appuyer, a relevé lors d’un entretien avec la télévision américaine en espagnol Univision que les élus avaient promis de mettre au point une proposition de loi d’ici au mois de mars, avec comme objectif une adoption avant l’été.
«Je pense que c’est une progression raisonnable. Et je pense que nous pouvons y arriver. Je ne vais pas donner de date précise, parce que je veux leur donner un peu d’espace pour débattre. Si ça se décale d’une semaine, c’est une chose. Si ça finit par prendre trois mois de retard, ce sera un problème», a remarqué le dirigeant démocrate.
A la question: «Aurons-nous une réforme de l’immigration d’ici à la fin de l’année?», M. Obama a répondu : «Je le pense».
Mais alors que de telles tentatives de réforme ont échoué ces dernières années, le président a expliqué que «la seule façon dont nous allons y parvenir sera si les républicains continuent à travailler avec les démocrates dans les deux Chambres du Congrès, pour qu’un projet de loi arrive sur mon bureau».