- 
			 L'Inde et la Chine vont reprendre les vols directs, un signe de détente de leur relations
- 
			 La Russie annonce un essai final réussi de son missile de croisière à propulsion nucléaire
- 
			 Un convoi égyptien à Gaza pour aider à retrouver des corps d'otages
- 
			 Donald Trump cosigne un accord de cessez-le-feu entre Cambodge et Thaïlande
 
			 L'annonce surprise de cette inculpation par le juge d'instruction Jean-Michel Gentil à Bordeaux (sud-ouest) a ponctué une journée de confrontations avec quatre membres du personnel de l'héritière du géant mondial des cosmétiques L'Oréal, âgée de 90 ans.
Faite à l'AFP par l'avocat de l'ex-président (2007-2012), Me Thierry Herzog, qui a annoncé son intention de "former immédiatement un recours", la décision a été confirmée par le Parquet de Bordeaux. Par son enquête, le juge cherche à déterminer si Nicolas Sarkozy a commis un abus de faiblesse aux dépens de la femme la plus riche de France, en lui demandant de l'argent pour financer sa campagne présidentielle de 2007.
L'abus de faiblesse est passible de trois ans d'emprisonnement, de 375.000 euros d'amende et d'une peine d'inéligibilité de cinq ans maximum. L'ex-président a notamment été confronté avec l'ex-majordome de Liliane Bettencourt, une ancienne femme de chambre, une infirmière et un maître d'hôtel,
L'affaire a été déclenchée en juillet 2010 par l'ex-comptable des Bettencourt, qui avait alors déclaré à la police s'être vu réclamer 150.000 euros en liquide par leur ancien homme de confiance, Patrice de Maistre, début 2007. Celui-ci lui avait assuré, selon la comptable, vouloir les donner à Eric Woerth, alors trésorier de la campagne de Nicolas Sarkozy.

 Augmenter la taille du texte
 Augmenter la taille du texte Diminuer la taille du texte
 Diminuer la taille du texte Partager
 Partager







 
					  
					  
					  
					  
 
 
					  
