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Discours, interviews, débat et distributions de tracts : pro et anti-Brexit jetaient mercredi leurs dernières forces dans la bataille pour tenter de convaincre les indécis à la veille du référendum sur la place du Royaume-Uni dans l'Union européenne.
Un jour avant ce scrutin déterminant pour l'avenir du pays mais aussi de l'Europe, les deux camps étaient dans un mouchoir de poche, le maintien dans l'UE ne comptant qu'un petit point d'avance (51%) dans les intentions de vote, selon la moyenne des six derniers sondages calculée par le site WhatUKThinks.
L'objectif était donc clair pour les deux camps : convaincre les quelque 10% d'indécis qui pourraient faire pencher la balance d'un côté ou de l'autre. Le Premier ministre conservateur David Cameron a donné le ton en affirmant qu'en choisissant de rester dans l'UE, le Royaume-Uni enverrait un "message clair" celui de n'être pas "replié sur lui-même".
Corée du Nord
La Corée du Nord a tiré coup sur coup mercredi deux puissants missiles à moyenne portée qui semblent avoir volé sur des distances nettement plus importantes que lors de précédents lancements infructueux, d'après le ministère sud-coréen de la Défense.
Les engins seraient des missiles Musudan à portée intermédiaire susceptibles de menacer les bases américaines de l'île de Guam, dans le Pacifique. Les condamnations internationales n'ont pas tardé, Washington comme Tokyo parlant de violations claires des résolutions de l'ONU, Séoul promettant de rechercher un durcissement des sanctions contre cet Etat doté de l'arme nucléaire.
Le Conseil de sécurité de l'ONU interdit à la Corée du Nord tout programme nucléaire et balistique.