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Pour libérer « Le Rif », l’armateur marocain International maritime transport corporation (IMTC) doit payer l’équivalent de 35 millions de dirhams à la compagnie italienne Grandi Navi Veloci pour le droit de commercialisation de la ligne Tanger-Barcelone-Gênes.
Les 2 compagnies, IMTC et Grandi Navi Veloci examinent actuellement la possibilité de parvenir à un nouvel accord, permettant de la sorte au ferry marocain d’appareiller du port Tanger Med. La saisie du Rif a été ordonnée par les autorités portuaires de ce dernier.
A rappeler que depuis début janvier, pour créances impayées, les navires Biladi et Marrakech de Comanav-Comarit avaient également fait l’objet d’une saisie conservatoire au port de Sète.
En effet, les ferrys qui assuraient des rotations bi-hebdomadaires entre les ports de Sète et Tanger, ont été assignés à quai en raison d’arriérés de carburant et des travaux réalisés par une société espagnole estimés à plus de trois millions d’euros. L’armateur devra s’acquitter de créances accumulées et impayées d’un montant de 3,2 millions d’euros pour lever la mesure de « saisie conservatoire ».
Ces mesures avaient coûté une mésaventure à quelque 400 Marocains qui devaient embarquer vers Tanger à bord du ferry « Biladi ». Ils avaient été obligés de passer la nuit dans leurs voitures sur le parking de la station maritime ou dans le hall.
Othman Benjelloun serait prêt, selon certaines sources, à devenir acquéreur de la Comanav-Comarit.







